Les paroles de la chanson
« Marie »
Claude Barzotti
Voilà que tu débarques, voilà que tu reviens,
Comme si c’était hier, comme si ce n’était rien,
Et tu parles de nous, comme d’une évidence,
Tu viens je ne sais d’où, tu veux qu’on recommence.
Mais Marie est venue, sans rien me demander,
Et elle seule a su, m’apprendre à t’oublier.
Voilà que je comprends, que je ne t’aime plus.
Que t’étais assemblant, rien qu’un mal entendu.
Toi tu dis que tu m’aimes et que tout va changé,
Qu’on ne fait plus de scène quand on a trop pleuré.
Mais marie est venue, et elle m’a guéri,
M’a soigné et m’a plu, m’a redonné la vie.
Voilà que tu arrives, comment t’es reconquises,
Que tu dis à Marie, que la place était prise,
Et puis moi je comprends combien j’aime Marie,
Combien je veux d’enfants que va faire Marie.
x2
Car Marie est venue, elle m’a consolée,
Je n’aurais jamais cru, que j’allais tant l’aimer
Comme si c’était hier, comme si ce n’était rien,
Et tu parles de nous, comme d’une évidence,
Tu viens je ne sais d’où, tu veux qu’on recommence.
Mais Marie est venue, sans rien me demander,
Et elle seule a su, m’apprendre à t’oublier.
Voilà que je comprends, que je ne t’aime plus.
Que t’étais assemblant, rien qu’un mal entendu.
Toi tu dis que tu m’aimes et que tout va changé,
Qu’on ne fait plus de scène quand on a trop pleuré.
Mais marie est venue, et elle m’a guéri,
M’a soigné et m’a plu, m’a redonné la vie.
Voilà que tu arrives, comment t’es reconquises,
Que tu dis à Marie, que la place était prise,
Et puis moi je comprends combien j’aime Marie,
Combien je veux d’enfants que va faire Marie.
x2
Car Marie est venue, elle m’a consolée,
Je n’aurais jamais cru, que j’allais tant l’aimer