Les paroles de la chanson
« Maria bonita »
Bernard Lavilliers
Elle dansait le soir
Dans son fourreau noir
La baïara de la Joliette
Obscure diva de tous les forçats
Qu’ils soient albanais ou bien grecs
Déesse des mers
Froide des flots verts
Qui battent les falaises grises
La chanson connue des îlots perdus
Aux nuits infinies des banquises
Refrain
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons
Maria Bonita
Regard minéral
Aimait jouer des métaphores
Dans un portugais qui toujours chantait
La magie noire de Salvador
Les hommes se taisaient
Un silence épais
Capiteux parfum de la mort
Le regard perdu près des grands docks nus
Les rêves et les cités d’or
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons
Maria Bonita
Dans son fourreau noir
La légende de la Joliette
Pouvait vous lancer d’une voix cassée
Un sort au delà des tempêtes
Parfois son sourire
Chargé de désir
Laissait un marin
Sur la plage
Marseille savait
Que ceux qui restaient
Un jour prochain
Feraient naufrage
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons
Dans son fourreau noir
La baïara de la Joliette
Obscure diva de tous les forçats
Qu’ils soient albanais ou bien grecs
Déesse des mers
Froide des flots verts
Qui battent les falaises grises
La chanson connue des îlots perdus
Aux nuits infinies des banquises
Refrain
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons
Maria Bonita
Regard minéral
Aimait jouer des métaphores
Dans un portugais qui toujours chantait
La magie noire de Salvador
Les hommes se taisaient
Un silence épais
Capiteux parfum de la mort
Le regard perdu près des grands docks nus
Les rêves et les cités d’or
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons
Maria Bonita
Dans son fourreau noir
La légende de la Joliette
Pouvait vous lancer d’une voix cassée
Un sort au delà des tempêtes
Parfois son sourire
Chargé de désir
Laissait un marin
Sur la plage
Marseille savait
Que ceux qui restaient
Un jour prochain
Feraient naufrage
Mais c’est des histoires
Que raconte aux escales
Un marin en cavale
Qui a changé de nom
Mais c’est des chansons
De cordage et de toile
Mystérieuses et fatales
Rescapées des typhons