Les paroles de la chanson
« Manuel benitez "el cordobes" »
Dalida
C’est dans la poussière que tu t’en allas
Des rues de Cordoue jusqu’à la féria
De Madrid la belle, inconnue de toi
Le soleil en feu quand tu arrivas
Semblait se confondre à du sang déjà
Jamais rose rouge n’aura cet éclat
Mais personne n’a vu ce jour-là
Ce sourire au fond de tes yeux
Qui allait pourtant peu à peu
Conquérir toutes les plazas
Puis vint le moment du premier combat
L’ombre et la lumière dansaient sous tes pas
Chacun attendait comme tant de fois
A croire que la peur n’était rien pour toi
Et même à l’instant où la mort passa
Plus près que les autres
Toi, tu t’avanças
Et la foule criant ses vivats
Découvrit le plus merveilleux
Des sourires au fond de tes yeux
Jamais plus elle ne l’oubliera
Tolède, Barcelone, Séville, Linarès
Le chemin fut long
Manuel Benitez
Avant qu’on ne t’appelle
El Cordobes, El Cordobes
Des rues de Cordoue jusqu’à la féria
De Madrid la belle, inconnue de toi
Le soleil en feu quand tu arrivas
Semblait se confondre à du sang déjà
Jamais rose rouge n’aura cet éclat
Mais personne n’a vu ce jour-là
Ce sourire au fond de tes yeux
Qui allait pourtant peu à peu
Conquérir toutes les plazas
Puis vint le moment du premier combat
L’ombre et la lumière dansaient sous tes pas
Chacun attendait comme tant de fois
A croire que la peur n’était rien pour toi
Et même à l’instant où la mort passa
Plus près que les autres
Toi, tu t’avanças
Et la foule criant ses vivats
Découvrit le plus merveilleux
Des sourires au fond de tes yeux
Jamais plus elle ne l’oubliera
Tolède, Barcelone, Séville, Linarès
Le chemin fut long
Manuel Benitez
Avant qu’on ne t’appelle
El Cordobes, El Cordobes