Les paroles de la chanson
« Manhattan »
Aston Villa
Manhattan
Je couche seul avec mon lit
Dans ce lit-là y a des plis
Et des replis sur soi
Comme ces peintures chinoises
Qui te représentent a nos rendez-vous
Ou ni l’un ni l’autre
Ne se rendront jamais
De la porte des Lilas
J’aperçois Manhattan uniquement par temps clair
Je n’ai pas ton adresse pour t’envoyer un mot
Je n’ai pas ton adresse pour m’envoyer en l’air
Des années à grimper l’échelle des valeurs
Pour s’asseoir sur le siège social
Bien s’asseoir dessus
Tandis que les téléphones alignés font leurs numéros
S’échangent des combines
Et s’enfilent des perles comme d’autres parlent
A chercher à en gagner
J’ai tué le temps
Pourtant j’en ai fait des provisions
Cet enculé me file entre les doigts
Heureusement il y a…
Notre complicité forgée dans l’adversité
Je couche seul avec mon lit
Dans ce lit-là y a des plis
Et des replis sur soi
Comme ces peintures chinoises
Qui te représentent a nos rendez-vous
Ou ni l’un ni l’autre
Ne se rendront jamais
De la porte des Lilas
J’aperçois Manhattan uniquement par temps clair
Je n’ai pas ton adresse pour t’envoyer un mot
Je n’ai pas ton adresse pour m’envoyer en l’air
Des années à grimper l’échelle des valeurs
Pour s’asseoir sur le siège social
Bien s’asseoir dessus
Tandis que les téléphones alignés font leurs numéros
S’échangent des combines
Et s’enfilent des perles comme d’autres parlent
A chercher à en gagner
J’ai tué le temps
Pourtant j’en ai fait des provisions
Cet enculé me file entre les doigts
Heureusement il y a…
Notre complicité forgée dans l’adversité