Les paroles de la chanson
« Mandarinade (chanson chinoise) »
Maurice Chevalier
Là-bas, tout au fond de la Chine
Vivait un puissant mandarin
En compagnie d’ sa mandarine
Chinoise garantie bon teint
Le mandarin austère et grave
Avait pour nom Kéktufoula
Sa femme s’appelait Fleur-de-Nave
C’est pas courant mais c’est chinois
Oui!
{Refrain:}
Miniaminabong anawong anakingkong
Miniaminabong anawong ping pong
Un jour, il partit en voyage
En laissant sa femme au logis
Mais la belle au cœur très volage
S’amouracha d’un d’ ses coolies
C’était un Nippon fort bel homme
Malgré son p’tit air effacé
Il avait un nom à la gomme
Yamamoto Kakapoté
Oui!
{au Refrain}
Bien qu’il fut coolie agricole
Il n’avait rien d’un va-nu-pied
Car il sortait d’une grande école
L’école des Nippons déchaussés
Un soir, au jardin, sous les branches
La mandarine se donna
Le Nippon s’en paya une tranche
Bien sûr, c’est jaune et ça n’ sait pas!
Ha!
{au Refrain}
Au bout de neuf mois, elle fut mère
D’un amour de poupon nippon
Mais le père s’était fait la paire
L’ coolie avait fait ses pacsons
Et quand, de retour de voyage,
Le mandarin vit le lardon
Il s’écria, devant l’outrage :
Je suis un mandarin citron!
Oh!
Oh wiwiwioh anawo hikonghou
Anaou ahou ping pong
Alors ce fut la tragédie
Le mandarin Kéktufoula
Ne put subir tant d’infamie
Et se harakirikara
La moralité se devine
C’est que lorsqu’on est mandarin
Faut bien choisir sa mandarine
Ou ben alors, y a des pépins
Oui!
{Au Refrain}
Aah aah inewohéha...
{au Refrain}
Vivait un puissant mandarin
En compagnie d’ sa mandarine
Chinoise garantie bon teint
Le mandarin austère et grave
Avait pour nom Kéktufoula
Sa femme s’appelait Fleur-de-Nave
C’est pas courant mais c’est chinois
Oui!
{Refrain:}
Miniaminabong anawong anakingkong
Miniaminabong anawong ping pong
Un jour, il partit en voyage
En laissant sa femme au logis
Mais la belle au cœur très volage
S’amouracha d’un d’ ses coolies
C’était un Nippon fort bel homme
Malgré son p’tit air effacé
Il avait un nom à la gomme
Yamamoto Kakapoté
Oui!
{au Refrain}
Bien qu’il fut coolie agricole
Il n’avait rien d’un va-nu-pied
Car il sortait d’une grande école
L’école des Nippons déchaussés
Un soir, au jardin, sous les branches
La mandarine se donna
Le Nippon s’en paya une tranche
Bien sûr, c’est jaune et ça n’ sait pas!
Ha!
{au Refrain}
Au bout de neuf mois, elle fut mère
D’un amour de poupon nippon
Mais le père s’était fait la paire
L’ coolie avait fait ses pacsons
Et quand, de retour de voyage,
Le mandarin vit le lardon
Il s’écria, devant l’outrage :
Je suis un mandarin citron!
Oh!
Oh wiwiwioh anawo hikonghou
Anaou ahou ping pong
Alors ce fut la tragédie
Le mandarin Kéktufoula
Ne put subir tant d’infamie
Et se harakirikara
La moralité se devine
C’est que lorsqu’on est mandarin
Faut bien choisir sa mandarine
Ou ben alors, y a des pépins
Oui!
{Au Refrain}
Aah aah inewohéha...
{au Refrain}