Les paroles de la chanson
« Maman chérie »
Claude François
Maman Chérie
J’ai mal de t’écrire que je ne rentrerais pas avant longtemps
Car tu vois, Maman chérie
Vraiment je n’aurais pas le cœur de rentrer maintenant
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais tu avais bien raison
Mais je voulais que tu sois un jour tellement fier de moi
Et je suis parti, un soir et comme je m’arrêtais sur la route
Pour passer la nuit, soudain je la vit debout
Je lui ai demandé où je pouvais dîner à cette heure-ci
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais, tu avais bien raison
Elle m’emmena dans un bar
J’lui proposais de s’asseoir
Elle dit d’accord
Je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais tu avais bien raison
Cela fait bientôt deux ans qu’à cause d’elle, je te mens
Et toi qui croyait, Maman
Que j’étudiais alors que je gâchais ma vie bêtement
Et depuis, ce jour maudit
J’ai souffert, j’ai pleuré
J’ai tenté mille fois de l’oublier
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais, tu avais bien raison
Je l’ai aimé comme un fou
Voilà maintenant tu sais tout
Que puis-je y faire?
Et je ne pourrais jamais, jamais, jamais
Rentrer chez nous
Jamais, jamais, jamais...
J’ai mal de t’écrire que je ne rentrerais pas avant longtemps
Car tu vois, Maman chérie
Vraiment je n’aurais pas le cœur de rentrer maintenant
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais tu avais bien raison
Mais je voulais que tu sois un jour tellement fier de moi
Et je suis parti, un soir et comme je m’arrêtais sur la route
Pour passer la nuit, soudain je la vit debout
Je lui ai demandé où je pouvais dîner à cette heure-ci
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais, tu avais bien raison
Elle m’emmena dans un bar
J’lui proposais de s’asseoir
Elle dit d’accord
Je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais tu avais bien raison
Cela fait bientôt deux ans qu’à cause d’elle, je te mens
Et toi qui croyait, Maman
Que j’étudiais alors que je gâchais ma vie bêtement
Et depuis, ce jour maudit
J’ai souffert, j’ai pleuré
J’ai tenté mille fois de l’oublier
Ah je n’aurais jamais, jamais dû quitter la maison
Jamais, jamais, tu avais bien raison
Je l’ai aimé comme un fou
Voilà maintenant tu sais tout
Que puis-je y faire?
Et je ne pourrais jamais, jamais, jamais
Rentrer chez nous
Jamais, jamais, jamais...