Les paroles de la chanson
« Maman »
Henri Salvador
Maman, j’étais assis sur tes genoux
Maman, tu caressais mes cheveux fous
Maman, cette photo jaunie par l’âge
Me fait rêver
Maman, je me revois y a si longtemps
Maman, tout empêtré dans mes quinze ans
Maman, tu m’as donné tout mon courage
Et ma fierté
Lorsque je revenais d’une querelle
Avec ma figure ensanglantée
Tu prenais ta voix de tourterelle
Et mon gros chagrin s’envolait
Maman, si tu venais encore t’asseoir
Maman, à mon chevet quand vient le soir
Maman, ce serait beaucoup plus facile
D’avancer
Mais il a bien fallu que l’on se quitte
Et tu es allée te reposer
Dans le ciel doré où tu habites
Depuis que ton cœur s’est brisé
Maman, si j’avais encore tes genoux
Maman, que les coups durs deviendraient doux
Maman, pourtant j’ai dû dépasser l’âge
De pleurer
Maman, maman, maman...
Maman, tu caressais mes cheveux fous
Maman, cette photo jaunie par l’âge
Me fait rêver
Maman, je me revois y a si longtemps
Maman, tout empêtré dans mes quinze ans
Maman, tu m’as donné tout mon courage
Et ma fierté
Lorsque je revenais d’une querelle
Avec ma figure ensanglantée
Tu prenais ta voix de tourterelle
Et mon gros chagrin s’envolait
Maman, si tu venais encore t’asseoir
Maman, à mon chevet quand vient le soir
Maman, ce serait beaucoup plus facile
D’avancer
Mais il a bien fallu que l’on se quitte
Et tu es allée te reposer
Dans le ciel doré où tu habites
Depuis que ton cœur s’est brisé
Maman, si j’avais encore tes genoux
Maman, que les coups durs deviendraient doux
Maman, pourtant j’ai dû dépasser l’âge
De pleurer
Maman, maman, maman...