Les paroles de la chanson
« Maman »
Pierre Lapointe
Maman dis-moi pourquoi
Les oiseaux au fond de mon cœur
Toutes les minutes pleurent
Comme si c’étaient pour les consoler
Maman dis-moi pourquoi
Tout ce qui bouge autour de moi
Me donne juste envie de pleurer
Comme le jour où je suis sorti de toi
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux mourir maintenant
Maman dis-moi pourquoi
Je me sens vieux de l’intérieur
Même si les minutes les heures
Sont encore trop jeunes pour m’assommer
Maman dis-moi pourquoi
Le bonheur entre mes mains
Comme la porcelaine se casse
C’est-y parce que je suis trop maladroit?
Ou si c’est la vie qui m’aime plus?
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux mourir maintenant
Je sais que je n’ le verrai jamais
Le jour où comme toi je serai vieux
Et pis que les rides sur mon visage
Seront arrivées pour y rester
Il n’ faudrait pas trop t’en vouloir
Si t’arrives plus à me consoler
C’est que les oiseaux au fond de mon cœur
Sont trop pressés de s’envoler
La la la la la …
Les oiseaux au fond de mon cœur
Toutes les minutes pleurent
Comme si c’étaient pour les consoler
Maman dis-moi pourquoi
Tout ce qui bouge autour de moi
Me donne juste envie de pleurer
Comme le jour où je suis sorti de toi
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux mourir maintenant
Maman dis-moi pourquoi
Je me sens vieux de l’intérieur
Même si les minutes les heures
Sont encore trop jeunes pour m’assommer
Maman dis-moi pourquoi
Le bonheur entre mes mains
Comme la porcelaine se casse
C’est-y parce que je suis trop maladroit?
Ou si c’est la vie qui m’aime plus?
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux être un enfant
Si c’est ça avoir 20 ans
J’aime mieux mourir maintenant
Je sais que je n’ le verrai jamais
Le jour où comme toi je serai vieux
Et pis que les rides sur mon visage
Seront arrivées pour y rester
Il n’ faudrait pas trop t’en vouloir
Si t’arrives plus à me consoler
C’est que les oiseaux au fond de mon cœur
Sont trop pressés de s’envoler
La la la la la …