Les paroles de la chanson
« Magazines »
Philippe Léotard
J’ai d’plus en plus peur des filles
Qui me déshabillent
Rien que d’un regard
C’est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l’estomac
Les bourrelets mous j’emballerai pas
J’suis sapé comme un menteur
Elles ont pas le coeur
Y’a plus qu’à se la jouer douce
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
J’suis un Don Juan sentimental
Ephémère et fatal
Je veux la totale
Mais je suis détesté du destin
J’emballe que dalle
J’arrive à rien
J’voudrais être khalife à la place du khalife
Violoniste émigré juif
Un dieu grec un roi du pétrole
Mais chuis pas élu non
Je suis qu’un goy
Passe-moi ton Playboy
Moi j’m’en bats les pouces
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Tiens, passe moi ton Penthouse
J’ai d’plus en plus peur des filles
Qui me déshabillent
Rien que d’un regard
C’est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l’estomac
Moi j’m’en bats les pouces
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Passe-moi ton Penthouse
Elles me r’gardent pas
Elles montrent leurs yeux
Elles dansent que pour elles
Elles écoutent que leurs boucles d’oreille
Tant pis c’est pas ma nuit
Mais j’vais essayer d’trouver ça joli
Tiens passe-moi ton Lui
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Monsieur s’il vous plaît :
Le Monde! Et Elle.
Qui me déshabillent
Rien que d’un regard
C’est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l’estomac
Les bourrelets mous j’emballerai pas
J’suis sapé comme un menteur
Elles ont pas le coeur
Y’a plus qu’à se la jouer douce
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
J’suis un Don Juan sentimental
Ephémère et fatal
Je veux la totale
Mais je suis détesté du destin
J’emballe que dalle
J’arrive à rien
J’voudrais être khalife à la place du khalife
Violoniste émigré juif
Un dieu grec un roi du pétrole
Mais chuis pas élu non
Je suis qu’un goy
Passe-moi ton Playboy
Moi j’m’en bats les pouces
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Tiens, passe moi ton Penthouse
J’ai d’plus en plus peur des filles
Qui me déshabillent
Rien que d’un regard
C’est déjà trop tard
Elles ont tout vu : le gras est là
La faute à l’estomac
Moi j’m’en bats les pouces
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Passe-moi ton Penthouse
Elles me r’gardent pas
Elles montrent leurs yeux
Elles dansent que pour elles
Elles écoutent que leurs boucles d’oreille
Tant pis c’est pas ma nuit
Mais j’vais essayer d’trouver ça joli
Tiens passe-moi ton Lui
Je m’retire je m’retrousse
Je retourne dans ma housse
Monsieur s’il vous plaît :
Le Monde! Et Elle.