Les paroles de la chanson
« Mademoiselle coco »
BaliMurphy
C’est pas moi que tu regardes dormir
Avec qui tu veux te réveiller
Je suis pas ton pari sur l’avenir
Juste un moment abandonné
Dans le courant d’un vague à l’âme
Un moment de doute sublimé
Un sursaut de ton côté sauvage
Et de ta folie oubliée...
Tu me dis "T’es pas fiable,
chez toi y a rien pour s’harnacher"
Tu me dis que tes raisons d’hier
Aujourd’hui, tu les as oubliées
Dans un regain de sagesse
Tu me demandes de m’en aller
Tu me dis qu’une fois revenue l’ivresse
Tu penseras à me rappeler
Je la regarde se languir
Ta beauté fauve et éphémère
Il en faut pour la subir
Et d’autres pour la satisfaire
T’as tout à prendre, rien à donner
Tu dictes le tempo, les clés
Tu distilles tes moments d’errance
Et surtout quand te retirer
Tu sais surtout choisir les cartes
Changer les donnes et t’adapter
Au cours de tes humeurs changeantes
A ta précieuse volonté
Pourquoi donner et souffrir
Que l’on puisse te refuser?
Quand il suffit de sourire
Et d’un peu ronronner
Tu dis "où", tu dis "quand"
Tu dis "dégage" et puis "reviens",
Tu dis "j’ai peur" et tu dis "j’ai mal"
Alors que tu ne ressens rien
Je la regarde se languir
Ta beauté fauve et éphémère
Il en faut pour la subir
Et d’autres pour la satisfaire
Avec qui tu veux te réveiller
Je suis pas ton pari sur l’avenir
Juste un moment abandonné
Dans le courant d’un vague à l’âme
Un moment de doute sublimé
Un sursaut de ton côté sauvage
Et de ta folie oubliée...
Tu me dis "T’es pas fiable,
chez toi y a rien pour s’harnacher"
Tu me dis que tes raisons d’hier
Aujourd’hui, tu les as oubliées
Dans un regain de sagesse
Tu me demandes de m’en aller
Tu me dis qu’une fois revenue l’ivresse
Tu penseras à me rappeler
Je la regarde se languir
Ta beauté fauve et éphémère
Il en faut pour la subir
Et d’autres pour la satisfaire
T’as tout à prendre, rien à donner
Tu dictes le tempo, les clés
Tu distilles tes moments d’errance
Et surtout quand te retirer
Tu sais surtout choisir les cartes
Changer les donnes et t’adapter
Au cours de tes humeurs changeantes
A ta précieuse volonté
Pourquoi donner et souffrir
Que l’on puisse te refuser?
Quand il suffit de sourire
Et d’un peu ronronner
Tu dis "où", tu dis "quand"
Tu dis "dégage" et puis "reviens",
Tu dis "j’ai peur" et tu dis "j’ai mal"
Alors que tu ne ressens rien
Je la regarde se languir
Ta beauté fauve et éphémère
Il en faut pour la subir
Et d’autres pour la satisfaire