Les paroles de la chanson
« Mademoiselle »
Zazie
On dit pas Madame on dit Mademoiselle
C’est comme ça qu’on appelle
Les filles de joies, les enfants, les pucelles,
En levant les yeux au ciel.
Pas de bague au doigt,
Pas plus de plomb dans l’aile.
Fuient, loin des pays froids,
Comme les hirondelles.
Pas comme toutes celles
Qui versent tant de larmes
Quand il se fait la belle,
Le prince plein de charme.
On dit pas Madame on dit Mademoiselle
C’est comme ça qu’on appelle
Les vieilles filles, les saintes, les homosexuelles
En levant les yeux au ciel.
Mais qu’elles sont belles, ces femmes qui sont libres
D’aimer tel ou telle en laissant l’autre libre
De voler quelques heures, les jolis papillons
Ne vont pas voir ailleurs quand on ne les met pas en prison.
Laissant à ciel ouvert,
Leur chambre et leurs cuisses,
Leur âme à découvert
Sans autre artifice.
Les marie-couche-toi-là
Sont si pleines de grâce,
Elles effacent toutes celles à
La vertu virtuelle
On dit pas Madame, on dit Mademoiselle
C’est comme ça qu’on appelle
Les danseuses, les poètes, les peintres, les modèles
Je suis un peu comme elles.
Pas de bague à mon doigt,
De plomb dans la cervelle.
Mais si tu veux de moi,
J essayerai d’être celle
Qui fera ton bonheur,
Les jolis papillons ne cherchent pas ailleurs
Ce qu’il trouve à la maison.
C’est comme ça qu’on appelle
Les filles de joies, les enfants, les pucelles,
En levant les yeux au ciel.
Pas de bague au doigt,
Pas plus de plomb dans l’aile.
Fuient, loin des pays froids,
Comme les hirondelles.
Pas comme toutes celles
Qui versent tant de larmes
Quand il se fait la belle,
Le prince plein de charme.
On dit pas Madame on dit Mademoiselle
C’est comme ça qu’on appelle
Les vieilles filles, les saintes, les homosexuelles
En levant les yeux au ciel.
Mais qu’elles sont belles, ces femmes qui sont libres
D’aimer tel ou telle en laissant l’autre libre
De voler quelques heures, les jolis papillons
Ne vont pas voir ailleurs quand on ne les met pas en prison.
Laissant à ciel ouvert,
Leur chambre et leurs cuisses,
Leur âme à découvert
Sans autre artifice.
Les marie-couche-toi-là
Sont si pleines de grâce,
Elles effacent toutes celles à
La vertu virtuelle
On dit pas Madame, on dit Mademoiselle
C’est comme ça qu’on appelle
Les danseuses, les poètes, les peintres, les modèles
Je suis un peu comme elles.
Pas de bague à mon doigt,
De plomb dans la cervelle.
Mais si tu veux de moi,
J essayerai d’être celle
Qui fera ton bonheur,
Les jolis papillons ne cherchent pas ailleurs
Ce qu’il trouve à la maison.