Les paroles de la chanson
« Madeleine »
Francis Cabrel
Madeleine, trop de peine
Il faudrait qu’elle oublie
Ces amours lointaines
Qui reviennent chaque nuit
Quand Madeleine dort
Sur sa chevelure d’or... fanée
Un soleil lourd de silence
Écrase l’alentours
Nulle fleur ne danse
Entre les dalles de la cour
Où Madeleine marche
Dans sa robe de patriarche... froissée
La voix d’un homme dans ses yeux
Lui dit que ce n’était qu’un jeu
Qu’ils rebâtiront leur bonheur
Et qu’un enfant brûlera leur cœur
Que la vie pourra repartir
Qu’on balayera les souvenirs
Tout comme autrefois
Alors le temps pour sourire
Elle fuit sa prison
Pour briser dans son délire
Les chaînes du pardon
Et Madeleine rit
Comme si tout était fini... passé
La voix d’un homme dans ses yeux
Lui dit que ce n’était qu’un jeu
Qu’ils rebâtiront leur bonheur
Et qu’un enfant brûlera leur cœur
Que la vie pourra repartir
Qu’on balayera les souvenirs
Tout comme autrefois
Mais d’autres matins viendront
Rallumer sa blessure
Qu’elle cache derrière sa longue
Robe de bure
Et Madeleine sait
Qu’elle n’en finira jamais... jamais
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine
Il faudrait qu’elle oublie
Ces amours lointaines
Qui reviennent chaque nuit
Quand Madeleine dort
Sur sa chevelure d’or... fanée
Un soleil lourd de silence
Écrase l’alentours
Nulle fleur ne danse
Entre les dalles de la cour
Où Madeleine marche
Dans sa robe de patriarche... froissée
La voix d’un homme dans ses yeux
Lui dit que ce n’était qu’un jeu
Qu’ils rebâtiront leur bonheur
Et qu’un enfant brûlera leur cœur
Que la vie pourra repartir
Qu’on balayera les souvenirs
Tout comme autrefois
Alors le temps pour sourire
Elle fuit sa prison
Pour briser dans son délire
Les chaînes du pardon
Et Madeleine rit
Comme si tout était fini... passé
La voix d’un homme dans ses yeux
Lui dit que ce n’était qu’un jeu
Qu’ils rebâtiront leur bonheur
Et qu’un enfant brûlera leur cœur
Que la vie pourra repartir
Qu’on balayera les souvenirs
Tout comme autrefois
Mais d’autres matins viendront
Rallumer sa blessure
Qu’elle cache derrière sa longue
Robe de bure
Et Madeleine sait
Qu’elle n’en finira jamais... jamais
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine
Et c’est bien trop de peine
Trop pour sœur Madeleine