Les paroles de la chanson
« Ma vie d'artiste »
Jacques Hustin
Ma vie, ma vie, ma vie d’artiste
Elle ne peut pas nous séparer
Si tu savais comme c’est triste
Les fins de galas, les tournées
Après les dernières photos
Signées le soir entre deux portes
Quand on balaie le plateau
Et que les lumières sont mortes
Quand le régisseur fait le noir
Quand on range les accessoires
Et que j’entends dans le couloir
Les musiciens dire bonsoir
Ma vie, ma vie, ma vie d’artiste
Elle ne peut pas nous séparer
Si tu savais comme c’est triste
Quand le spectacle est terminé
Qu’on va rejoindre son hôtel
Et la même chambre morose
Qu’on ne dort pas tant que le ciel
N’allume pas toutes ses roses
Et toujours ce vague remords
Qu’on aurait pu faire mieux, plus fort
Aller plus loin dans son effort
Qu’on n’avait pas donné encore
Ma vie, ma vie, ma vie d’artiste
Elle ne peut pas nous séparer
Mais Dieu, c’est fou ce qu’elle existe!
Je ne pourrais pas m’en passer
Un oeil entre les deux rideaux
Pour voir si l’on a fait du monde
Les premiers accords du piano
Et puis le trac qui vous inonde
Et poussé par je-ne-sais-quoi
Dans un tourbillon de musique
Courir vers qui, courir vers quoi?
Courir, courir vers le public
Elle ne peut pas nous séparer
Si tu savais comme c’est triste
Les fins de galas, les tournées
Après les dernières photos
Signées le soir entre deux portes
Quand on balaie le plateau
Et que les lumières sont mortes
Quand le régisseur fait le noir
Quand on range les accessoires
Et que j’entends dans le couloir
Les musiciens dire bonsoir
Ma vie, ma vie, ma vie d’artiste
Elle ne peut pas nous séparer
Si tu savais comme c’est triste
Quand le spectacle est terminé
Qu’on va rejoindre son hôtel
Et la même chambre morose
Qu’on ne dort pas tant que le ciel
N’allume pas toutes ses roses
Et toujours ce vague remords
Qu’on aurait pu faire mieux, plus fort
Aller plus loin dans son effort
Qu’on n’avait pas donné encore
Ma vie, ma vie, ma vie d’artiste
Elle ne peut pas nous séparer
Mais Dieu, c’est fou ce qu’elle existe!
Je ne pourrais pas m’en passer
Un oeil entre les deux rideaux
Pour voir si l’on a fait du monde
Les premiers accords du piano
Et puis le trac qui vous inonde
Et poussé par je-ne-sais-quoi
Dans un tourbillon de musique
Courir vers qui, courir vers quoi?
Courir, courir vers le public