Les paroles de la chanson
« Ma terre »
Les Compagnons De La Chanson
Un matin on m’a dit «faut-y faire»
Un matin on m’a dit «faut partir»
«C’est fini de rêvasser sur tes souvenirs
Va en ville c’est ça l’avenir»
Alors moi, je l’ai quitté, ma terre
Celle qui connue mes premiers pas
Elle était un peu aride je ne le nie pas
Mais c’était la terre de chez moi
Tu sais ma terre
Tu restes collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Je viendrais vers toi de nouveau
Pour sûr que c’était l’idée du Maire
De tout faire démolir par chez moi
Y-a quelqu’un qui en revient, paraît que là bas
Même les vieux sont d’accord pour ça
Ils veulent bâtir dessus, ma terre
Mais pour ça il faut paver le blé
A croire qu’ils ont oublié l’odeur de l’été
Quand le soir, le foin est rentré
Tu sais ma terre
Tu reste collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Je viendrais vers toi de nouveau
Ils veulent rejeter les vielles pierres
Et détourner le cours du ruisseau
A savoir s’ils n’iront pas chasser les oiseaux
Et cacher le ciel d’un rideau
Alors je vais revenir, ma terre
Car la ville n’a pas besoin de moi
Et crois bien si longtemps que je serai là
Ils ne pourront rien contre toi
Tu sais ma terre
Tu reste collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Nous serons heureux de nouveau.
Un matin on m’a dit «faut partir»
«C’est fini de rêvasser sur tes souvenirs
Va en ville c’est ça l’avenir»
Alors moi, je l’ai quitté, ma terre
Celle qui connue mes premiers pas
Elle était un peu aride je ne le nie pas
Mais c’était la terre de chez moi
Tu sais ma terre
Tu restes collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Je viendrais vers toi de nouveau
Pour sûr que c’était l’idée du Maire
De tout faire démolir par chez moi
Y-a quelqu’un qui en revient, paraît que là bas
Même les vieux sont d’accord pour ça
Ils veulent bâtir dessus, ma terre
Mais pour ça il faut paver le blé
A croire qu’ils ont oublié l’odeur de l’été
Quand le soir, le foin est rentré
Tu sais ma terre
Tu reste collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Je viendrais vers toi de nouveau
Ils veulent rejeter les vielles pierres
Et détourner le cours du ruisseau
A savoir s’ils n’iront pas chasser les oiseaux
Et cacher le ciel d’un rideau
Alors je vais revenir, ma terre
Car la ville n’a pas besoin de moi
Et crois bien si longtemps que je serai là
Ils ne pourront rien contre toi
Tu sais ma terre
Tu reste collée à ma peau
Bientôt ho ho ho
Nous serons heureux de nouveau.