Les paroles de la chanson
« Ma première guitare »
Sacha Distel
J’avais quinze ans,
C’était le temps
De ma première guitare,
Et tout ce temps
Revient souvent
Du fond de ma mémoire.
Ces quinze ans-là
C’était Django
Qui les mettait en fête.
En ce temps-là
C’était Django
Qu’on avait dans la tête.
Dans sa musique, il y avait comme une odeur de feu de bois,
Il y avait un je-ne-sais-quoi,
Moitié Harlem,
Moitié bohème.
Et sur tout ça passaient, joyeux, de merveilleux nuages,
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Tous les gens du voyage.
Depuis ce temps,
J’ai eu le temps
De changer de guitare,
Et le gitan
De mes quinze ans
Est là dans ma mémoire.
Et, bien des fois,
C’est malgré moi,
Il me vient quelques notes
Comme un refrain
Venu soudain
Du fond d’une roulotte.
Alors sous mes doigts monte l’odeur du feu de bois,
J’entends comme un je-ne-sais-quoi
Moitié bohème
Moitié Harlem.
Et sur mon cœur passent, joyeux, ces merveilleux nuages
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Les enfants du voyage.
C’était le temps
De ma première guitare,
Et tout ce temps
Revient souvent
Du fond de ma mémoire.
Ces quinze ans-là
C’était Django
Qui les mettait en fête.
En ce temps-là
C’était Django
Qu’on avait dans la tête.
Dans sa musique, il y avait comme une odeur de feu de bois,
Il y avait un je-ne-sais-quoi,
Moitié Harlem,
Moitié bohème.
Et sur tout ça passaient, joyeux, de merveilleux nuages,
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Tous les gens du voyage.
Depuis ce temps,
J’ai eu le temps
De changer de guitare,
Et le gitan
De mes quinze ans
Est là dans ma mémoire.
Et, bien des fois,
C’est malgré moi,
Il me vient quelques notes
Comme un refrain
Venu soudain
Du fond d’une roulotte.
Alors sous mes doigts monte l’odeur du feu de bois,
J’entends comme un je-ne-sais-quoi
Moitié bohème
Moitié Harlem.
Et sur mon cœur passent, joyeux, ces merveilleux nuages
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Les enfants du voyage.