Les paroles de la chanson
« Ma moitié »
Georges Chelon
C’est pas l’envie qui me manque
De t’offrir un peu d’amour
D’autant que tu es tentante
T’as de jolis contours
Ma main je le sens bien
S’attarderait facile
Sur toi qui je sais bien
Te montrerais docile
Mais faut pas que je traînaille
Que je me laisse prendre
Aux feux de mes entrailles
Elles n’aspirent qu’à se rendre
S’offrir à corps perdu
Une fille légère
Légère de vertu
Oui mais pesante de chair
Car ma moitié m’attend
Elle attend que je rentre
Ma moitié n’est pas du genre
Qui plaisante
Ma moitié ne souffrirait pas
Que j’aime à tout vent
Mais si cette moitié
Pensait un peu à l’autre
Si de temps en temps
Elle commettait la faute
Je n’aurais pas les mains
Qui me brûlent tant
Du temps des épousailles
C’était tout feu tout flamme
De me pendre à sa taille
Je faillis rendre l’âme
Mais voilà qu’à présent
Plus de feu, plus de flamme
Les nuits ne mettent plus
D’amour à leur programme
Car ma moitié se prend
Pour une grande dame
Ma moitié oublie
Qu’elle vient de la campagne
Ma moitié s’est mise au thé,
Aux toasts beurrés
Qu’elle se prenne pour une "De"
Le jour si ça l’amuse
Mais qu’une fois au lit
Elle perde l’habitude
De jouer les marquises
Et les biches apeurées
Allez faut que je rentre
Faut pas qu’elle s’impatiente
Je reviendrai te voir
Si vraiment ça me tente
C’est pas pour la tromper, non,
C’est pas pour me venger
Si je reviens te voir
Ce sera pour ma santé
De t’offrir un peu d’amour
D’autant que tu es tentante
T’as de jolis contours
Ma main je le sens bien
S’attarderait facile
Sur toi qui je sais bien
Te montrerais docile
Mais faut pas que je traînaille
Que je me laisse prendre
Aux feux de mes entrailles
Elles n’aspirent qu’à se rendre
S’offrir à corps perdu
Une fille légère
Légère de vertu
Oui mais pesante de chair
Car ma moitié m’attend
Elle attend que je rentre
Ma moitié n’est pas du genre
Qui plaisante
Ma moitié ne souffrirait pas
Que j’aime à tout vent
Mais si cette moitié
Pensait un peu à l’autre
Si de temps en temps
Elle commettait la faute
Je n’aurais pas les mains
Qui me brûlent tant
Du temps des épousailles
C’était tout feu tout flamme
De me pendre à sa taille
Je faillis rendre l’âme
Mais voilà qu’à présent
Plus de feu, plus de flamme
Les nuits ne mettent plus
D’amour à leur programme
Car ma moitié se prend
Pour une grande dame
Ma moitié oublie
Qu’elle vient de la campagne
Ma moitié s’est mise au thé,
Aux toasts beurrés
Qu’elle se prenne pour une "De"
Le jour si ça l’amuse
Mais qu’une fois au lit
Elle perde l’habitude
De jouer les marquises
Et les biches apeurées
Allez faut que je rentre
Faut pas qu’elle s’impatiente
Je reviendrai te voir
Si vraiment ça me tente
C’est pas pour la tromper, non,
C’est pas pour me venger
Si je reviens te voir
Ce sera pour ma santé