Les paroles de la chanson
« Ma grand-mère était garde-barrière »
Mireille
Ma grand-mère était garde-barrière
Tous les garçons du pays étaient amoureux
De son teint couleur de lys et de ses yeux bleus
En l’absence de son mari, que de rendez-vous étaient pris
Et c’étaient de folles caresses entre l’office, le rapide et l’express
Mais quand son amoureux devenait trop pressant
Elle baissait les yeux d’un air décent
Permettez, disait grand-mère,
Faut que j’aille fermer ma barrière
{Refrain:}
Avec son drapeau, sa p’tite trompette, son grand chapeau,
Son joli corsage à carreaux,
Elle fermait l’ passage à niveau
Et tandis que le train passait
Elle réfléchissait,
Réfléchissait
Et les yeux baissés, grand-mère rougissait,
Rougissait
Saura-t-on jamais ce que tu penses?
Ah ah ah ah
Saura-t-on jamais ce que tu penses
En silence?
Avec ton drapeau, ta p’tite trompette, ton grand chapeau,
T’étais la reine des passages à niveau
Entre Paris et Bordeaux
Mais grand-mère était trop familière
Et tous les p’tits racontars
Et les p’tits potins
Circulaient de gare en gare
Allant à bon train,
Tous les trains ralentissaient d’vant sa barrière
Quand ils passaient
Et tous les voyageurs, aux f’nêtres,
Lui envoyaient des billets doux et des lettres
Mais quand son amoureux voulait trop insister
La sonnette se mettait à tinter
Et grand-mère dressait l’oreille :
Voilà l’ train dix de Marseille
{au Refrain}
Entre Paris et Bordeaux.
Tous les garçons du pays étaient amoureux
De son teint couleur de lys et de ses yeux bleus
En l’absence de son mari, que de rendez-vous étaient pris
Et c’étaient de folles caresses entre l’office, le rapide et l’express
Mais quand son amoureux devenait trop pressant
Elle baissait les yeux d’un air décent
Permettez, disait grand-mère,
Faut que j’aille fermer ma barrière
{Refrain:}
Avec son drapeau, sa p’tite trompette, son grand chapeau,
Son joli corsage à carreaux,
Elle fermait l’ passage à niveau
Et tandis que le train passait
Elle réfléchissait,
Réfléchissait
Et les yeux baissés, grand-mère rougissait,
Rougissait
Saura-t-on jamais ce que tu penses?
Ah ah ah ah
Saura-t-on jamais ce que tu penses
En silence?
Avec ton drapeau, ta p’tite trompette, ton grand chapeau,
T’étais la reine des passages à niveau
Entre Paris et Bordeaux
Mais grand-mère était trop familière
Et tous les p’tits racontars
Et les p’tits potins
Circulaient de gare en gare
Allant à bon train,
Tous les trains ralentissaient d’vant sa barrière
Quand ils passaient
Et tous les voyageurs, aux f’nêtres,
Lui envoyaient des billets doux et des lettres
Mais quand son amoureux voulait trop insister
La sonnette se mettait à tinter
Et grand-mère dressait l’oreille :
Voilà l’ train dix de Marseille
{au Refrain}
Entre Paris et Bordeaux.