Les paroles de la chanson
« Ma cabane au fond du jardin »
Laurent Gerra
Ma cabane au fond du jardin
Moi j’y vais quand j’ai besoin
C’est un charmant petit trou
Tout entouré de cailloux
Y a des mouches qui bourdonnent
Des abeilles qui frelonnent
Y a pas de tout à l’égout
Alors on fait sur les cailloux
C’est un charmant petit coin
Ma cabane au fond du jardin
Elle trône tout au bout
D’un chemin plein de cailloux
Y a un arbre juste à côté
C’est pratique pour s’essuyer
Si c’était un acacia
Avec les feuilles on pourrait pas
Elles sont bien trop petites
Et les épines, ça irrite
Même les dames l’aiment bien
Ma cabane au fond du jardin
Accroché au clou rouillé
Y a du journal déchiré
Et quand on est constipé
On le lit pour patienter
Pour se laver le derrière
On file jusqu’à la rivière
Elle est pleine de cailloux
Qui dansent dans les remous
Elle est belle comme le matin
Ma cabane au fond du jardin
Ma cabane au fond du jardin
Je lui dois tous mes quatrains
Dès que j’y pose ma prose
Immédiatement je compose
Mais ce coin de paradis
Un jour ou l’autre sera détruit
Et je ne reverrai plus
Ses belles planches vermoulues
Elle sera l’objet de mon chagrin,
Ma cabane au fond du jardin
Et même si on la détruisait,
Je l’aimais, je l’aime, je l’aimerai
Moi j’y vais quand j’ai besoin
C’est un charmant petit trou
Tout entouré de cailloux
Y a des mouches qui bourdonnent
Des abeilles qui frelonnent
Y a pas de tout à l’égout
Alors on fait sur les cailloux
C’est un charmant petit coin
Ma cabane au fond du jardin
Elle trône tout au bout
D’un chemin plein de cailloux
Y a un arbre juste à côté
C’est pratique pour s’essuyer
Si c’était un acacia
Avec les feuilles on pourrait pas
Elles sont bien trop petites
Et les épines, ça irrite
Même les dames l’aiment bien
Ma cabane au fond du jardin
Accroché au clou rouillé
Y a du journal déchiré
Et quand on est constipé
On le lit pour patienter
Pour se laver le derrière
On file jusqu’à la rivière
Elle est pleine de cailloux
Qui dansent dans les remous
Elle est belle comme le matin
Ma cabane au fond du jardin
Ma cabane au fond du jardin
Je lui dois tous mes quatrains
Dès que j’y pose ma prose
Immédiatement je compose
Mais ce coin de paradis
Un jour ou l’autre sera détruit
Et je ne reverrai plus
Ses belles planches vermoulues
Elle sera l’objet de mon chagrin,
Ma cabane au fond du jardin
Et même si on la détruisait,
Je l’aimais, je l’aime, je l’aimerai