Les paroles de la chanson
« Ma bouche »
Élodie Frégé
Ma bouche en coeur
Ne regarde pas l’heure
Elle avale ta trotteuse
En cavale, baroudeuse
Ma bouche fait mouche
Ma bouche à peur
Quand tu tardes au bonheur
Elle s’affale boudeuse
Sur un mal (mâle) d’amoureuse
Ma bouche te touche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Ma bouche folle
Prend le large, t’affole
Elle sait mettre le voile
Sur son chant infernal
Ma bouche te couche
Ma bouche idole
Paradis parabole
Reprend son air pincé
Si tu l’as évincée
Ma bouche farouche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Ma bouche fronce
Ton cuir et t’annonce
Sans cri, sans encombre
Qu’il est temps que tu sombres
Ma bouche t’accouche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ma bouche entière
Pourrait gagner la guerre
Ma bouche fière
Pourrait bien te faire taire
Ta fièvre...
Ne regarde pas l’heure
Elle avale ta trotteuse
En cavale, baroudeuse
Ma bouche fait mouche
Ma bouche à peur
Quand tu tardes au bonheur
Elle s’affale boudeuse
Sur un mal (mâle) d’amoureuse
Ma bouche te touche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Ma bouche folle
Prend le large, t’affole
Elle sait mettre le voile
Sur son chant infernal
Ma bouche te couche
Ma bouche idole
Paradis parabole
Reprend son air pincé
Si tu l’as évincée
Ma bouche farouche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Ma bouche fronce
Ton cuir et t’annonce
Sans cri, sans encombre
Qu’il est temps que tu sombres
Ma bouche t’accouche
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ta fièvre...
Mes lèvres t’élèvent, t’élèvent, t’élèvent
Mais lèvent, lèvent, lèvent, lèvent
Ma bouche entière
Pourrait gagner la guerre
Ma bouche fière
Pourrait bien te faire taire
Ta fièvre...