Les paroles de la chanson
« Loulou de la vache noire »
Michèle Arnaud
Mam’zelle Loulou de la Vache Noire
Porte des bijoux de bazar
Mais elle en a d’autres sous la robe
Qu’on dirait le musée des beaux-arts
V’là le printemps qui s’amène
Drapé dans l’or de son genêt
Y en a pour deux à trois semaines
D’ici que la fleur soit fanée
Mam’zelle Loulou de la Vache Noire
Ne s’habille pas de satin
Mais le tissu de sa chair tendre
N’a pas point d’égal, sûr et certain
V’là le printemps qui s’avance
Avec sa botte de muguet
Mais les promeneurs du dimanche
Ont mis les grelots en bouquets
Mam’zelle Loulou de la Vache Noire
Aura seize ans ce mois de mai
Or elle en a vingt d’ savoir-faire
Pour embrasser son bien-aimé
V’là le printemps qui s’apprête
A sentir la violette au bois
Mais il arrive malheur aux fleurettes
Quand le vent donne de la voix
On dit que l’ vent de la Vache Noire
Chargé des senteurs de Meudon
Aurait dans le cours de l’Histoire
Brisé plus d’une rose en bouton
V’là le printemps qui s’empresse
D’ouvrir la fleur du cerisier
Mais comme la fleur de la jeunesse
Tout ça n’ va point s’éterniser
Porte des bijoux de bazar
Mais elle en a d’autres sous la robe
Qu’on dirait le musée des beaux-arts
V’là le printemps qui s’amène
Drapé dans l’or de son genêt
Y en a pour deux à trois semaines
D’ici que la fleur soit fanée
Mam’zelle Loulou de la Vache Noire
Ne s’habille pas de satin
Mais le tissu de sa chair tendre
N’a pas point d’égal, sûr et certain
V’là le printemps qui s’avance
Avec sa botte de muguet
Mais les promeneurs du dimanche
Ont mis les grelots en bouquets
Mam’zelle Loulou de la Vache Noire
Aura seize ans ce mois de mai
Or elle en a vingt d’ savoir-faire
Pour embrasser son bien-aimé
V’là le printemps qui s’apprête
A sentir la violette au bois
Mais il arrive malheur aux fleurettes
Quand le vent donne de la voix
On dit que l’ vent de la Vache Noire
Chargé des senteurs de Meudon
Aurait dans le cours de l’Histoire
Brisé plus d’une rose en bouton
V’là le printemps qui s’empresse
D’ouvrir la fleur du cerisier
Mais comme la fleur de la jeunesse
Tout ça n’ va point s’éterniser