Les paroles de la chanson
« Lorsque tu chantes et danses »
Michel Laurent
Lorsque tu chantes et danses sans arrêt dans ma tête
Se mettent à tourner les ailes du moulin
Qui raniment ce vent qui souffle dans ma tête
Je ne sais même plus retrouver mon chemin
Lorsque tu t’amuses avec ta chevelure
A enrouler tes doigts dans tes boucles d’or fin
J’ai la vue qui se trouble et je sens dans ma nuque
Tous les serpents des mers frétiller pour un rien
Non! Tu ne peux pas t’amuser comme ça
Non! Il ne faut pas te moquer de moi
Non! Il ne faut pas me mettre dans cet état
Quand tu me dis au revoir, tu t’en vas et tu tournes
Te balançant en bousculant tout sur ton chemin
J’ai la vue qui se voile et la tête en déroute
Je sens dans mon corps l’effet de ton venin
Lorsque tu chantes et danses sans arrêt dans ma tête
Se mettent à frapper les rythmes des tambours
Qui percutent mes tempes et frappent dans ma tête
Me transportent et me grisent jusqu’au petit jour
Quand tu me dis au revoir, tu t’en vas et tu tournes
Te balançant en bousculant tout sur ton chemin
J’ai la vue qui se voile et la tête en déroute
Je sens dans mon corps l’effet de ton venin
Lorsque tu chantes et danses, sans arrêt dans ma tête
Se mettent à tourner les ailes du moulin
Qui raniment ce vent qui souffle dans ma tête
Je ne sais même plus retrouver mon chemin
Se mettent à tourner les ailes du moulin
Qui raniment ce vent qui souffle dans ma tête
Je ne sais même plus retrouver mon chemin
Lorsque tu t’amuses avec ta chevelure
A enrouler tes doigts dans tes boucles d’or fin
J’ai la vue qui se trouble et je sens dans ma nuque
Tous les serpents des mers frétiller pour un rien
Non! Tu ne peux pas t’amuser comme ça
Non! Il ne faut pas te moquer de moi
Non! Il ne faut pas me mettre dans cet état
Quand tu me dis au revoir, tu t’en vas et tu tournes
Te balançant en bousculant tout sur ton chemin
J’ai la vue qui se voile et la tête en déroute
Je sens dans mon corps l’effet de ton venin
Lorsque tu chantes et danses sans arrêt dans ma tête
Se mettent à frapper les rythmes des tambours
Qui percutent mes tempes et frappent dans ma tête
Me transportent et me grisent jusqu’au petit jour
Quand tu me dis au revoir, tu t’en vas et tu tournes
Te balançant en bousculant tout sur ton chemin
J’ai la vue qui se voile et la tête en déroute
Je sens dans mon corps l’effet de ton venin
Lorsque tu chantes et danses, sans arrêt dans ma tête
Se mettent à tourner les ailes du moulin
Qui raniment ce vent qui souffle dans ma tête
Je ne sais même plus retrouver mon chemin