Les paroles de la chanson
« Local rock »
Charlélie Couture
Local Rock Charlélie Couture (1984)
Toutes ces inhibitions qui collent sous les paupières
La peur du ridicule qui se colle à la nuque
Et toutes ces certitudes plus pointues qu’une épingle
Les craintes qui dorment dans le fond d’un cratère
Du bonheur en ébène, du sirop dans le coeur
Faut pas oser lutter contre les convenances
Ni se laisser noyer dans une mare de principes
Soumis comme un drogué prisonnier en Thaïlande
Houai! c’est ta vie
Tu sais, tu t’en accuses
Tu cries dans un local qui résonne
Le rock ici c’est perdu d’avance
(4 temps)
+ (4 temps)
De l’esprit de banlieue à l’abri des typhons
Mélange de jalousie et de timidité
Conformismes éteints comme des tailleurs gris
Et cette prudence chaste jusqu’au bout du désir
Et toutes ces frustrations, ces besoins d’érections
De ling’rie et de muscles, la sueur chaude qui s’écoule
Sur les maillots moulants des jeunes filles catholiques
Qu’entretiennent leur forme en dansant l’aérobic
(4 temps)
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre
(4 temps)
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre
Et ceux qui sont emmêles dans ces à priori
Dans ces permis de construire ou bien ces plans d’épargnes
Et ceux qui se protègent sous une grande serre
Isolée d’laine de verre, chlorophylle sous la neige
Membres du tennis club ou des tournois de bridge
Ces loosers là magnifiques, ces gens qui ont déçus
Qui finissent alcooliques en attendant un fils
Parti dans le Pacifique et qui reviendra jamais plus
Houai! c’est ta vie
Tu sais, tu t’en accuses
Tu cries dans un local qui résonne
Le rock ici c’est perdu d’avance
Mais tu répètes, tu aimes, tu joues c’que tu penses
Mais tu répètes, tu aimes, tu joues c’que tu penses
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh! ooh!
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh!
(1 temps)
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh! ooh!
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh!
Yeah!
(musique)
Toutes ces inhibitions qui collent sous les paupières
La peur du ridicule qui se colle à la nuque
Et toutes ces certitudes plus pointues qu’une épingle
Les craintes qui dorment dans le fond d’un cratère
Du bonheur en ébène, du sirop dans le coeur
Faut pas oser lutter contre les convenances
Ni se laisser noyer dans une mare de principes
Soumis comme un drogué prisonnier en Thaïlande
Houai! c’est ta vie
Tu sais, tu t’en accuses
Tu cries dans un local qui résonne
Le rock ici c’est perdu d’avance
(4 temps)
+ (4 temps)
De l’esprit de banlieue à l’abri des typhons
Mélange de jalousie et de timidité
Conformismes éteints comme des tailleurs gris
Et cette prudence chaste jusqu’au bout du désir
Et toutes ces frustrations, ces besoins d’érections
De ling’rie et de muscles, la sueur chaude qui s’écoule
Sur les maillots moulants des jeunes filles catholiques
Qu’entretiennent leur forme en dansant l’aérobic
(4 temps)
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre
(4 temps)
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre hissés
Un, deux, trois, quatre
Et ceux qui sont emmêles dans ces à priori
Dans ces permis de construire ou bien ces plans d’épargnes
Et ceux qui se protègent sous une grande serre
Isolée d’laine de verre, chlorophylle sous la neige
Membres du tennis club ou des tournois de bridge
Ces loosers là magnifiques, ces gens qui ont déçus
Qui finissent alcooliques en attendant un fils
Parti dans le Pacifique et qui reviendra jamais plus
Houai! c’est ta vie
Tu sais, tu t’en accuses
Tu cries dans un local qui résonne
Le rock ici c’est perdu d’avance
Mais tu répètes, tu aimes, tu joues c’que tu penses
Mais tu répètes, tu aimes, tu joues c’que tu penses
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh! ooh!
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh!
(1 temps)
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh! ooh!
C’est le local rock’n, le local rock oh! oh!
Yeah!
(musique)