Les paroles de la chanson
« Lino »
Karpatt
Parait qu’on la retrouver pendu au p’tit matin à la lanterne
Du vieux tripot on l’a vu, la veille entrer avant qu’il ferme
Il avait toujours dans la manche, quatre à cinq rois et un valet,
C’était pas des joueurs du dimanche, la nuit où ça a mal tourné
Il s’est pris une balle dans l’cigare,
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il avait la classe à c’qu’on dit
Paraît qu’une nuit, chez la Marlène, on l’a retrouvé les bras en croix
Une nappe plantée dans l’abdomen, avec un nombril gros comme ça
Elle était tellement croc la môme, et il lui en faisait tellement voir
Qu’avant de se jeter la p’tite conne, et d’s’écrabouiller sur le trottoir
Elle l’a saigné dans son sommeil
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il était à poil à c’qu’on dit.
On raconte qu’au dernier combat, il est tombé dans une arnaque
Fallait qu’il s’couche un truc comme ça, le soir où il boxait un crac
Mais Lino c’était un kador, un gars qui baisse jamais la garde,
On l’a repêché au fond du port, à moitié bouffé par les crabes.
Il avait les pieds, dans le ciment,
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il avait la classe à c’qu’on dit
Mais la version la plus connue, sur la disparition de Lino
C’est qu’il s’est barré dans les îles, sous les palmiers les noix de coco
Il les sirote à la santé, de tous ces cons qu’ont rien à foutre,
Et qui bavassent à sa santé, pendant qu’il bronze à la Guadeloupe!
Qu’on l’ait pendu à la lanterne,
Ou qu’il ait fini dans le ciment,
j’suis sur qu’au ciel, ou à la plage
Il s’est retrouvé, un costard blanc.
Du vieux tripot on l’a vu, la veille entrer avant qu’il ferme
Il avait toujours dans la manche, quatre à cinq rois et un valet,
C’était pas des joueurs du dimanche, la nuit où ça a mal tourné
Il s’est pris une balle dans l’cigare,
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il avait la classe à c’qu’on dit
Paraît qu’une nuit, chez la Marlène, on l’a retrouvé les bras en croix
Une nappe plantée dans l’abdomen, avec un nombril gros comme ça
Elle était tellement croc la môme, et il lui en faisait tellement voir
Qu’avant de se jeter la p’tite conne, et d’s’écrabouiller sur le trottoir
Elle l’a saigné dans son sommeil
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il était à poil à c’qu’on dit.
On raconte qu’au dernier combat, il est tombé dans une arnaque
Fallait qu’il s’couche un truc comme ça, le soir où il boxait un crac
Mais Lino c’était un kador, un gars qui baisse jamais la garde,
On l’a repêché au fond du port, à moitié bouffé par les crabes.
Il avait les pieds, dans le ciment,
c’était pas du joli-joli
Mais pas une tache, sur son costard,
Il avait la classe à c’qu’on dit
Mais la version la plus connue, sur la disparition de Lino
C’est qu’il s’est barré dans les îles, sous les palmiers les noix de coco
Il les sirote à la santé, de tous ces cons qu’ont rien à foutre,
Et qui bavassent à sa santé, pendant qu’il bronze à la Guadeloupe!
Qu’on l’ait pendu à la lanterne,
Ou qu’il ait fini dans le ciment,
j’suis sur qu’au ciel, ou à la plage
Il s’est retrouvé, un costard blanc.