Les paroles de la chanson
« Libre »
Eiffel
C’est p’t-être là que j’claque ma démence
Comme tout un chacun, dans une fleur d’oubliance
Facteur cul, Junk Food-Center, violence
La voix de ton maître dans les murs d’enceintes
Crash-barrières "Misère, pas cher!"
Ô Pékin, Ô Florence
Tant que, de nulle part à partout, résonne
Un seul mot d’ordre... croissance
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?
Non j’suis pas tout seul, il y a Google
Dans les villes-monde j’m’administre de l’intérieur
Big Brother is watching you
Du Sichuan au Tank Man, prends ma main, et Tian’anmen
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?
Possédés, on n’peut plus s’échapper
La peur domine en bas résille bleu marine
Salle de shoot, du pain et du foot
Peuple enchanté, "radioactivé "
Mais quand le printemps s’évade
Sur son pur sang Arabe...Ô please...
Du brasier des rêves, tirez torches et folies
Faites le mur et courir le grand méchant bruit de la vie!
C’est p’t-être là que j’claque ma démence
Comme tout un chacun, moi je fais pschitt
Aux lueurs d’opulence
Servitude volontaire avant délivrance.
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?
Comme tout un chacun, dans une fleur d’oubliance
Facteur cul, Junk Food-Center, violence
La voix de ton maître dans les murs d’enceintes
Crash-barrières "Misère, pas cher!"
Ô Pékin, Ô Florence
Tant que, de nulle part à partout, résonne
Un seul mot d’ordre... croissance
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?
Non j’suis pas tout seul, il y a Google
Dans les villes-monde j’m’administre de l’intérieur
Big Brother is watching you
Du Sichuan au Tank Man, prends ma main, et Tian’anmen
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?
Possédés, on n’peut plus s’échapper
La peur domine en bas résille bleu marine
Salle de shoot, du pain et du foot
Peuple enchanté, "radioactivé "
Mais quand le printemps s’évade
Sur son pur sang Arabe...Ô please...
Du brasier des rêves, tirez torches et folies
Faites le mur et courir le grand méchant bruit de la vie!
C’est p’t-être là que j’claque ma démence
Comme tout un chacun, moi je fais pschitt
Aux lueurs d’opulence
Servitude volontaire avant délivrance.
Homme pour homme, pour c’qu’on vivait
Comme que comme, tous on luttait
Quand souvent c’était à peine survivre
Redis-moi, toi qui n’es plus là
Silence hurlant dans l’air
Ça fait quoi d’être libre?