Les paroles de la chanson
« Lettre à joséphine »
Serge Lama
Ecris-moi Joséphine
Apaise mon chagrin
Ton absence est un cri brûlant
Un poignard dans mes reins
Si tu as besoin d’argent
Fais-en part à mon frère
Il porte deux cents louis pour toi
Tu ne m’as pas parlé de tes affaires
Dieu, que c’est loin, Paris!
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Junot vient à Paris
Rapporter vingt drapeaux
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Reviens-moi avec lui
Est-ce bien vrai? Murat m’écrit
Que tu ne viendras pas
Que tu es enceinte d’un petit
D’un tout petit soldat
Je ne verrais donc pas
Ton joli petit ventre
Et tes pauvres yeux las
Mais saches qu Joséphine
Est le centre, le cœur du combat
Et que je t’aime tant
Que je t’aime trop
La victoire volera comme un porte-drapeau
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Jusqu’au fond de tes draps
Ecris-moi, Joséphine,
Ecris à ton ami
Ecris à ton amant
Que l’absence assassine
Ecris, écris
Ecris même, tant pis,
Si ta plume me brûle et me brise et me tue
Ecris-moi des mots fous, violents, ridicules
Ecris-moi des mots crus
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Ton image est plantée
Dans moi comme un drapeau
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Ton corps, c’est mon épée
Ma vie... mon cœur... ma peau...
Apaise mon chagrin
Ton absence est un cri brûlant
Un poignard dans mes reins
Si tu as besoin d’argent
Fais-en part à mon frère
Il porte deux cents louis pour toi
Tu ne m’as pas parlé de tes affaires
Dieu, que c’est loin, Paris!
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Junot vient à Paris
Rapporter vingt drapeaux
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Reviens-moi avec lui
Est-ce bien vrai? Murat m’écrit
Que tu ne viendras pas
Que tu es enceinte d’un petit
D’un tout petit soldat
Je ne verrais donc pas
Ton joli petit ventre
Et tes pauvres yeux las
Mais saches qu Joséphine
Est le centre, le cœur du combat
Et que je t’aime tant
Que je t’aime trop
La victoire volera comme un porte-drapeau
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Jusqu’au fond de tes draps
Ecris-moi, Joséphine,
Ecris à ton ami
Ecris à ton amant
Que l’absence assassine
Ecris, écris
Ecris même, tant pis,
Si ta plume me brûle et me brise et me tue
Ecris-moi des mots fous, violents, ridicules
Ecris-moi des mots crus
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Ton image est plantée
Dans moi comme un drapeau
Ah, que je t’aime tant
Que je t’aime trop!
Ton corps, c’est mon épée
Ma vie... mon cœur... ma peau...