Les paroles de la chanson
« Lettre à desnos »
Claire Lise
Je suis descendu par hasard dans ce caveau un peu triste
Je savais pas que t’y serais en lettres rouges
Et je savais encore moins j’y croiserais ta femme
Et qu’à mon tour je l’aimerais
Et qu’à mon tour j’en rêverais
Moi qui n’aime pas les femmes
Dehors il faisait presque beau
C’était le printemps qui arrivait
Mon coeur était encore tout chaud
D’un p’tit bonheur qui le berçait
J’avais le sourire de l’amour et c’est pour ça
Je crois aussi que j’ai pleurer à mon tour
La déchirure de ta vie
Sans me méfier j’ai lu tes mots
Comme les gros titres des journaux
J’ai cru bêtement que tu faisais le beau
Accroché aux pierres du caveau
Bien sûr on t’a mis dans les murs
T’aurais pu voir naître tes blessures
Mais moi j’aurais jamais pensé
Pour tes maux autant frissonner
J’aurais bien voulu emporté
Toutes tes souffrances et tes maux
Mais c’est si dur à supporter
Que honteuse j’ai tourné l’dos
Et même si j’ai voulu revenir
Le soir seule pour me recueillir
Tu m’avais fermer ton caveau
Pour y mourir avec tes maux
Dehors il faisait presque beau
C’était le printemps qui arrivait
Mon coeur était encore tout chaud
D’un p’tit bonheur qui le berçait
J’avais le sourire de l’amour et c’est pour ça
Je crois aussi que j’ai pleurer à mon tour
La déchirure de ta vie
Je savais pas que t’y serais en lettres rouges
Et je savais encore moins j’y croiserais ta femme
Et qu’à mon tour je l’aimerais
Et qu’à mon tour j’en rêverais
Moi qui n’aime pas les femmes
Dehors il faisait presque beau
C’était le printemps qui arrivait
Mon coeur était encore tout chaud
D’un p’tit bonheur qui le berçait
J’avais le sourire de l’amour et c’est pour ça
Je crois aussi que j’ai pleurer à mon tour
La déchirure de ta vie
Sans me méfier j’ai lu tes mots
Comme les gros titres des journaux
J’ai cru bêtement que tu faisais le beau
Accroché aux pierres du caveau
Bien sûr on t’a mis dans les murs
T’aurais pu voir naître tes blessures
Mais moi j’aurais jamais pensé
Pour tes maux autant frissonner
J’aurais bien voulu emporté
Toutes tes souffrances et tes maux
Mais c’est si dur à supporter
Que honteuse j’ai tourné l’dos
Et même si j’ai voulu revenir
Le soir seule pour me recueillir
Tu m’avais fermer ton caveau
Pour y mourir avec tes maux
Dehors il faisait presque beau
C’était le printemps qui arrivait
Mon coeur était encore tout chaud
D’un p’tit bonheur qui le berçait
J’avais le sourire de l’amour et c’est pour ça
Je crois aussi que j’ai pleurer à mon tour
La déchirure de ta vie