Les paroles de la chanson
« Les visiteurs d'andromède »
Gilbert Laffaille
Planète en vue, moteurs coupés
Commençons descente sur Terre
Localisons zone habitée
Rudimentaire
Pesanteur sans gravité
Etrange atmosphère
Signal danger zéro, vaisseau posé douceur
Recevons des vagues de peur
Structure massive, noyau brûlant
Echangeons messages solaires
Atomes crochus complémentaires
Sympathisants
Respirons fleurs printanières
Sans trouble apparent
Liaison nature brouillée
Captons pensées confuses
Sentons présence intruse
L’air est chaud, le sable est tiède
Comme la neige sur Andromède
Ils n’ont qu’un front et deux oreilles
Deux grands pieds, deux bras, deux mains
Des doigts, des pouces et des orteils
De type humain
Pas d’antennes anti-sommeil
Comme les Eoliens
Une bouche avec des dents
Des poils autour des yeux
Et un nez percé en deux
Ils marchent en troupes, les mâles se battent
Pour des tissus de couleurs
Se tirent dessus, se trouent la rate
Se crèvent le cœur
Ni voyants ni télépathes ni même renifleurs
Ils pensent avec des cris,
Dévorent les bœufs, les porcs
Dépendent encore du corps
Terre fertile peuplée barbares
Mission nulle, parés départ
Commençons descente sur Terre
Localisons zone habitée
Rudimentaire
Pesanteur sans gravité
Etrange atmosphère
Signal danger zéro, vaisseau posé douceur
Recevons des vagues de peur
Structure massive, noyau brûlant
Echangeons messages solaires
Atomes crochus complémentaires
Sympathisants
Respirons fleurs printanières
Sans trouble apparent
Liaison nature brouillée
Captons pensées confuses
Sentons présence intruse
L’air est chaud, le sable est tiède
Comme la neige sur Andromède
Ils n’ont qu’un front et deux oreilles
Deux grands pieds, deux bras, deux mains
Des doigts, des pouces et des orteils
De type humain
Pas d’antennes anti-sommeil
Comme les Eoliens
Une bouche avec des dents
Des poils autour des yeux
Et un nez percé en deux
Ils marchent en troupes, les mâles se battent
Pour des tissus de couleurs
Se tirent dessus, se trouent la rate
Se crèvent le cœur
Ni voyants ni télépathes ni même renifleurs
Ils pensent avec des cris,
Dévorent les bœufs, les porcs
Dépendent encore du corps
Terre fertile peuplée barbares
Mission nulle, parés départ