Les paroles de la chanson
« Les tuileries »
Yves Montand
Nous sommes deux drôles
Aux larges épaules
De joyeux bandits
Sachant rire et battre
Mangeant comme quatre
Buvant comme dix
Quand vidant des litres
Nous cognons aux vitres
De l’estaminet
Le bourgeois difforme
Tremble en uniforme
Sous son gros bonnet
Nous vivons en somme
On est honnête homme
On n’est pas mouchard
On va le dimanche
Avec Lise ou Blanche
Dîner chez Richard
Nous vivons sans gîte
Goulûment et vite
Comme le moineau
Haussant nos caprices
Jusqu’aux cantatrices
De chez Bobino
La vie est diverse
Nous bravons l’averse
Qui mouille nos peaux
Toujours en ribote
Ayant peu de potes
Et point de chapeau
Nous avons l’ivresse
L’amour, la jeunesse
L’éclair dans les yeux
Des poings effroyables
Nous sommes des diables
Nous sommes des dieux.
Aux larges épaules
De joyeux bandits
Sachant rire et battre
Mangeant comme quatre
Buvant comme dix
Quand vidant des litres
Nous cognons aux vitres
De l’estaminet
Le bourgeois difforme
Tremble en uniforme
Sous son gros bonnet
Nous vivons en somme
On est honnête homme
On n’est pas mouchard
On va le dimanche
Avec Lise ou Blanche
Dîner chez Richard
Nous vivons sans gîte
Goulûment et vite
Comme le moineau
Haussant nos caprices
Jusqu’aux cantatrices
De chez Bobino
La vie est diverse
Nous bravons l’averse
Qui mouille nos peaux
Toujours en ribote
Ayant peu de potes
Et point de chapeau
Nous avons l’ivresse
L’amour, la jeunesse
L’éclair dans les yeux
Des poings effroyables
Nous sommes des diables
Nous sommes des dieux.