Les paroles de la chanson
« Les traditions »
Julio Iglesias
Les traditions qui nous enchaînent
Nous ont fait vivre trop longtemps
Ensemble
Dans la grisaille quotidienne
Avec les mots qu’on fait semblant
D’entendre
Rentrer chez soi, le vague à l’âme
Ne pas vouloir d’une autre vie
Plus libre
Parce que l’on est mari et femme
Et qu’un papier nous interdit
De vivre
{Refrain:}
On n’a pas su se dire à temps
"Il faut se quitter"
Au grand poker des sentiments
On a trop bien triché
Les traditions qui nous enchaînent
Nous ont forcé à refuser
La chance
De dire enfin de vrais "Je t’aime"
Et de chanter enfin de vraies
Romances
Sous les reproches du silence
Sous nos regards indifférents
Et vides
Nous n’étions plus que deux absences
Marchant ensemble vers le temps
Des rides
{au Refrain}
Je vais enfin oser te dire
"Il faut se quitter"
J’en ai assez de te mentir
Je ne veux plus tricher
Les traditions qui nous enchaînent
Nous ont fait vivre trop longtemps
Ensemble
Dans la grisaille quotidienne
Avec les mots qu’on fait semblant
D’entendre
Sous les reproches du silence
Sous nos regards indifférents
Et vides
Nous n’étions plus que deux absences
Marchant ensemble vers le temps
Des rides
Nous ont fait vivre trop longtemps
Ensemble
Dans la grisaille quotidienne
Avec les mots qu’on fait semblant
D’entendre
Rentrer chez soi, le vague à l’âme
Ne pas vouloir d’une autre vie
Plus libre
Parce que l’on est mari et femme
Et qu’un papier nous interdit
De vivre
{Refrain:}
On n’a pas su se dire à temps
"Il faut se quitter"
Au grand poker des sentiments
On a trop bien triché
Les traditions qui nous enchaînent
Nous ont forcé à refuser
La chance
De dire enfin de vrais "Je t’aime"
Et de chanter enfin de vraies
Romances
Sous les reproches du silence
Sous nos regards indifférents
Et vides
Nous n’étions plus que deux absences
Marchant ensemble vers le temps
Des rides
{au Refrain}
Je vais enfin oser te dire
"Il faut se quitter"
J’en ai assez de te mentir
Je ne veux plus tricher
Les traditions qui nous enchaînent
Nous ont fait vivre trop longtemps
Ensemble
Dans la grisaille quotidienne
Avec les mots qu’on fait semblant
D’entendre
Sous les reproches du silence
Sous nos regards indifférents
Et vides
Nous n’étions plus que deux absences
Marchant ensemble vers le temps
Des rides