Les paroles de la chanson
« Les rideaux »
Élodie Frégé
Glisser sous les saveurs
De nos corps qui s’accouchent
Refuges des humeurs
Et des mots à nos bouches
Des mots, des "promis"
Des "si j’ose"
Pour que ma hâte reprenne la pose
Tu sais, ça je sais faire
La fée des bonnes manières...
Je jette ma gorge aux griffes
Des fumées que tu offres
J’agite au bord du gouffre
Ma patience dans son coffre
Du feu, du faux, des attitudes
Pour façonner ma belle solitude
Tu vois, je m’accoutume
Aux ombres je présume...
Je ferme les yeux
Je tire les rideaux sur mon bleu-vert
Et je tisse ton visage au revers
Pour naître un sourire à mon air
Qui étire les rides aux coins
De mes paupières
A l’instant où je te pose sur ma terre
Puisque c’est quand mes yeux
sont clos
Que je te vois le mieux
A travers
J’ai mis les voiles au temps
Pour dans deux ou trois pages
Pour effleurer l’instant
Y tremper mon visage
Du vent, des aléas et vues
J’allais à "nous" de "vous" à "tu"...
...sens, le sucre fond
Mon rêve crève au plafond
Mais je ferme les yeux et...
Je tire les rideaux sur mon bleu-vert
Et je tisse ton visage au revers
Pour naître un sourire à mon air
Qui étire les rides aux coins
De mes paupières
A l’instant où je te pose sur ma terre
Puisque c’est quand mes yeux
sont clos
Que je te vois le mieux
A travers
J’étire mes "lagons-fantasmes"
en rivières
C’est de toi qui court un peu
sur ma terre
Si tu es là mes yeux ouverts
C’est que nous avons su
bien faire...
De nos corps qui s’accouchent
Refuges des humeurs
Et des mots à nos bouches
Des mots, des "promis"
Des "si j’ose"
Pour que ma hâte reprenne la pose
Tu sais, ça je sais faire
La fée des bonnes manières...
Je jette ma gorge aux griffes
Des fumées que tu offres
J’agite au bord du gouffre
Ma patience dans son coffre
Du feu, du faux, des attitudes
Pour façonner ma belle solitude
Tu vois, je m’accoutume
Aux ombres je présume...
Je ferme les yeux
Je tire les rideaux sur mon bleu-vert
Et je tisse ton visage au revers
Pour naître un sourire à mon air
Qui étire les rides aux coins
De mes paupières
A l’instant où je te pose sur ma terre
Puisque c’est quand mes yeux
sont clos
Que je te vois le mieux
A travers
J’ai mis les voiles au temps
Pour dans deux ou trois pages
Pour effleurer l’instant
Y tremper mon visage
Du vent, des aléas et vues
J’allais à "nous" de "vous" à "tu"...
...sens, le sucre fond
Mon rêve crève au plafond
Mais je ferme les yeux et...
Je tire les rideaux sur mon bleu-vert
Et je tisse ton visage au revers
Pour naître un sourire à mon air
Qui étire les rides aux coins
De mes paupières
A l’instant où je te pose sur ma terre
Puisque c’est quand mes yeux
sont clos
Que je te vois le mieux
A travers
J’étire mes "lagons-fantasmes"
en rivières
C’est de toi qui court un peu
sur ma terre
Si tu es là mes yeux ouverts
C’est que nous avons su
bien faire...