Les paroles de la chanson
« Les rêveries de jean-jacques rousseau »
Claude Besson
Je m’baladais sans méfiance
Sur le boul’vard de l’enfance
je sifflais un p’tit air de bonheur
Pour faire de mes dix ans un bouquet de fleurs
y s’démerdait pas mal mon bonheur
A ce temps-là je lui tire un coup d’chapeau
J’étais comblé d’importance
Boul’vard de l’indifférence
Je swingais un p’tit air de bonheur
Pour faire de mes vingt ans un bouquet de fleurs
Je lisais les rêv’ries du prom’neur
Solitaire de mon ami Jean-Jacques Rousseau
Et je chantais le blues et le jazz
Et je dansais le jazz et le blues
Tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Quand j’suis entré dans la danse oh!yeah!yeah!
La vie c’était pas des vacances
J’ai mouillé mon dos et mon mouchoir
Pour aller gagner mon pain à l’abattoir
Je hurlais chansonnettes d’espoir
A ce temps-là sûr’ment pas un coup d’chapeau
Et pour défendre la France "han!dé!"
Y r’gardaient pas à la dépense
Ils m’ont enfermé dans leur caserne
J’ai fait le con devant un drapeau en berne
Comment voulez-vous que ça me concerne?
Je préfère les rev’ries de Jean-Jacques Rousseau
Et puis chanter le blues et le jazz
Et puis danser le jazz et le blues
Tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
TI dili dap pa dip.....
Elle avait des cheveux d’ange
Et la peau comme une orange
Je menuisais des chansons jolies
Pour faire la cour à notre idylle en folie
Tous deux nous plantions des myosotis
A ce temps-là je lui tire un coup d’chapeau
Mais le bonheur ça voyage oh!yeah!yeah!
Sur des nuages,des orages
Il a planté des chardons ardents
Partout son cheval a piétiné mes champs
Mais à tes infidélités Don Juan
je préfère les rêv’ries de Jean-Jacques Rousseau
Et puis chanter le blues et le jazz
Et puis danser le jazz et le blues
tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Il a planté des chardons ardents
Partout son cheval a piétiné mes champs
Mais à tes infidélités Don Juan
Je préfère les rêv’ries de Jean-Jacques Rousseau.
Sur le boul’vard de l’enfance
je sifflais un p’tit air de bonheur
Pour faire de mes dix ans un bouquet de fleurs
y s’démerdait pas mal mon bonheur
A ce temps-là je lui tire un coup d’chapeau
J’étais comblé d’importance
Boul’vard de l’indifférence
Je swingais un p’tit air de bonheur
Pour faire de mes vingt ans un bouquet de fleurs
Je lisais les rêv’ries du prom’neur
Solitaire de mon ami Jean-Jacques Rousseau
Et je chantais le blues et le jazz
Et je dansais le jazz et le blues
Tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Quand j’suis entré dans la danse oh!yeah!yeah!
La vie c’était pas des vacances
J’ai mouillé mon dos et mon mouchoir
Pour aller gagner mon pain à l’abattoir
Je hurlais chansonnettes d’espoir
A ce temps-là sûr’ment pas un coup d’chapeau
Et pour défendre la France "han!dé!"
Y r’gardaient pas à la dépense
Ils m’ont enfermé dans leur caserne
J’ai fait le con devant un drapeau en berne
Comment voulez-vous que ça me concerne?
Je préfère les rev’ries de Jean-Jacques Rousseau
Et puis chanter le blues et le jazz
Et puis danser le jazz et le blues
Tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
TI dili dap pa dip.....
Elle avait des cheveux d’ange
Et la peau comme une orange
Je menuisais des chansons jolies
Pour faire la cour à notre idylle en folie
Tous deux nous plantions des myosotis
A ce temps-là je lui tire un coup d’chapeau
Mais le bonheur ça voyage oh!yeah!yeah!
Sur des nuages,des orages
Il a planté des chardons ardents
Partout son cheval a piétiné mes champs
Mais à tes infidélités Don Juan
je préfère les rêv’ries de Jean-Jacques Rousseau
Et puis chanter le blues et le jazz
Et puis danser le jazz et le blues
tout c’qui balance enfin tout c’qui bouge
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Si l’on n’a pas la vie qu’on peut
On rêve la vie qu’on veut
Ti dili dap pa dip.....
Il a planté des chardons ardents
Partout son cheval a piétiné mes champs
Mais à tes infidélités Don Juan
Je préfère les rêv’ries de Jean-Jacques Rousseau.
