Les paroles de la chanson
« Les premiers lundis de septembre »
Archimède
Sous les coudieres
Des vestes de mon frère
Je cachais les écorchures de l’été
Il y avait dans l’air
Je ne sais quoi d’austère
La grisaille des premiers jours de rentrée
Comment nous défaire
Des mains de nos mères
Qui nous manquait déjà si tôt quittés
Demeuré fier
Que sous nos paupières
Surtout ne poigne aucune larme éhonté
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Quand revient l’automne
Ses souvenirs d’école
Immanquablement vienne me hanté
Odeur de colle
Teinte sur les ébauches
Chahute un quotidien désenchanté
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Les premiers lundis de Septembre
N’existe t’il que pour nous rendre
Désemparé, les années
Passent mais rien ne change
Retour en arrière
Peur des grammaires
Je me console de chevelures ambrées
A quelle écolière
Irons mes vers
Cette année quand la cloche aura sonné
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Les premiers lundis de Septembre
N’existe t’il que pour nous rendre
Désemparé, les années
Passent mais rien ne change
Des vestes de mon frère
Je cachais les écorchures de l’été
Il y avait dans l’air
Je ne sais quoi d’austère
La grisaille des premiers jours de rentrée
Comment nous défaire
Des mains de nos mères
Qui nous manquait déjà si tôt quittés
Demeuré fier
Que sous nos paupières
Surtout ne poigne aucune larme éhonté
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Quand revient l’automne
Ses souvenirs d’école
Immanquablement vienne me hanté
Odeur de colle
Teinte sur les ébauches
Chahute un quotidien désenchanté
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Les premiers lundis de Septembre
N’existe t’il que pour nous rendre
Désemparé, les années
Passent mais rien ne change
Retour en arrière
Peur des grammaires
Je me console de chevelures ambrées
A quelle écolière
Irons mes vers
Cette année quand la cloche aura sonné
Les premiers lundis de Septembre
Existe t’il pour nous apprendre
A nous cramponner, nous blinder
Quand le chagrin nous étrangle
Les premiers lundis de Septembre
N’existe t’il que pour nous rendre
Désemparé, les années
Passent mais rien ne change