Les paroles de la chanson
« Les petits trains »
Jacques Douai
Te souvient-il de la douceur des petits trains,
Dans les pays des bords de mer entre les tamarins?
Tu es en voyage avec ton père et tu regardes,
Un cortège de bœufs qui part en promenade.
Tu es dans un bistrot près du mécanicien,
À lui rafistolais les lignes de la main,
Et tu songes tout bas à ta mère qui brode,
Des yeux de loto bleu et de jolies pagodes.
Et dans la chasse à courre de la tapisserie,
Les jeux comme nous font, mes vieils hauts de vie,
Un circulaire des bords de mer et des banlieues,
Libère tes chauffeurs et renverse tes feus.
Tu ne peux me mener plus loin que ton ancêtre,
Qui paissait tristement le long de la banquette,
Tandis que descendait, entre les tamarins,
Un enfant qui poussait les wagons d’une main.
Te souvient-il de la douceur des petits trains,
Dans les pays des bords de mer entre les tamarins?
Tu es en voyage avec ton père et tu regardes,
Un cortège de bœufs qui part en promenade.
Dans les pays des bords de mer entre les tamarins?
Tu es en voyage avec ton père et tu regardes,
Un cortège de bœufs qui part en promenade.
Tu es dans un bistrot près du mécanicien,
À lui rafistolais les lignes de la main,
Et tu songes tout bas à ta mère qui brode,
Des yeux de loto bleu et de jolies pagodes.
Et dans la chasse à courre de la tapisserie,
Les jeux comme nous font, mes vieils hauts de vie,
Un circulaire des bords de mer et des banlieues,
Libère tes chauffeurs et renverse tes feus.
Tu ne peux me mener plus loin que ton ancêtre,
Qui paissait tristement le long de la banquette,
Tandis que descendait, entre les tamarins,
Un enfant qui poussait les wagons d’une main.
Te souvient-il de la douceur des petits trains,
Dans les pays des bords de mer entre les tamarins?
Tu es en voyage avec ton père et tu regardes,
Un cortège de bœufs qui part en promenade.