Les paroles de la chanson
« Les p'tites gueules »
Têtes Raides
ne pleurons pas sur ce qu’il reste
dans les faubourgs ça continue
de se raconter dans l’ivresse
et les pleurs en suspendu
mais dans le cours des arpentis
y’avait qu’à brûler le temps
de se les voir dans leur p’tites vie
qu’on choisit pas ce s’rait trop...con
ne restons pas prenons les routes
on s’fait bandit pour c’que ça coûte
prenons les ronds et les bicyclettes
et les autres ça continue
ils veulent que ça c’est pour trembler
on pourrait dire qu’ils savent déjà
à leurs p’tites mines
les gars d’la vrille ont peur de rien
surtout pas des chevrotines
ils vont loin mais le coeur mal en point
c’est pas saint d’être seule
dit la traiteuse à la blanchisseuse
ça se termine dans le vin
ou les mots d’un écrivain
repartons et sans le doute
ne laissons rien
et toi Marlo qu’en a que foutre
un p’tit brin de vent et tout va bien
c’est toujours drôle te voir à Pantin
se croyant vivre à Hambourg
les p’tits moments à s’dire l’amour
qu’on choisit pas se s’rait trop...con
les tire-d’aile les escarmouches
les tu m’as vu et les vauriens
crient les chevaux le clop en bouche
dans le vide du lendemain
ils veulent que ça c’est pour trembler
on pourrait dire qu’ils savent déjà
à leurs p’tites mines
les gars d’la vrille ont peur de rien
surtout pas des chevrotines
ils vont loin mais le coeur mal en point
heureusement qu’il y a les copains
qui préparent un casse à Pantin
eux au moins ils pensent aux cousins
les gars d’la maréchaussée
et dans le feu sans les détours
le flingue en main ça continue
les morts pour rien de nos beaux jours
que l’on salue dans la cohue
c’est pour éviter un cousin
Marlo nous offrit le canal
l’auto toussa son dernier râle
on en riait c’était si...beau
et tous les gens s’écrient bravo
sur les cadavres de la vrille
la chaussée cache un sanglot
et les p’tites gueules en exil
dans les faubourgs ça continue
de se raconter dans l’ivresse
et les pleurs en suspendu
mais dans le cours des arpentis
y’avait qu’à brûler le temps
de se les voir dans leur p’tites vie
qu’on choisit pas ce s’rait trop...con
ne restons pas prenons les routes
on s’fait bandit pour c’que ça coûte
prenons les ronds et les bicyclettes
et les autres ça continue
ils veulent que ça c’est pour trembler
on pourrait dire qu’ils savent déjà
à leurs p’tites mines
les gars d’la vrille ont peur de rien
surtout pas des chevrotines
ils vont loin mais le coeur mal en point
c’est pas saint d’être seule
dit la traiteuse à la blanchisseuse
ça se termine dans le vin
ou les mots d’un écrivain
repartons et sans le doute
ne laissons rien
et toi Marlo qu’en a que foutre
un p’tit brin de vent et tout va bien
c’est toujours drôle te voir à Pantin
se croyant vivre à Hambourg
les p’tits moments à s’dire l’amour
qu’on choisit pas se s’rait trop...con
les tire-d’aile les escarmouches
les tu m’as vu et les vauriens
crient les chevaux le clop en bouche
dans le vide du lendemain
ils veulent que ça c’est pour trembler
on pourrait dire qu’ils savent déjà
à leurs p’tites mines
les gars d’la vrille ont peur de rien
surtout pas des chevrotines
ils vont loin mais le coeur mal en point
heureusement qu’il y a les copains
qui préparent un casse à Pantin
eux au moins ils pensent aux cousins
les gars d’la maréchaussée
et dans le feu sans les détours
le flingue en main ça continue
les morts pour rien de nos beaux jours
que l’on salue dans la cohue
c’est pour éviter un cousin
Marlo nous offrit le canal
l’auto toussa son dernier râle
on en riait c’était si...beau
et tous les gens s’écrient bravo
sur les cadavres de la vrille
la chaussée cache un sanglot
et les p’tites gueules en exil