Les paroles de la chanson
« Les murailles »
Jean-Jacques Goldman
Géantes ces murailles bâties de pierres et de sang
Plus hautes que les batailles, défiant le poids des ans
Aujourd’hui quatre vents feraient s’envoler ses tours
Et l’on jurait avant que ça durerait toujours
Corons, terrils au nord, litanie des paysages
Aux vivants comme aux morts, la mine histoire et langage
Ce charbon peine et chance, chaque mineur l’a vécu
Mais un jour ce silence, oh pas un ne l’aurait cru
Et j’avais fait des merveilles en bâtissant notre amour
En gardant ton sommeil, en montant des murs autour
Mais quand on aime on a tort, on est stupide, on est sourd
Moi j’avais cru si fort que ça durerait toujours
J’avais cru si fort que ça durerait toujours
Plus hautes que les batailles, défiant le poids des ans
Aujourd’hui quatre vents feraient s’envoler ses tours
Et l’on jurait avant que ça durerait toujours
Corons, terrils au nord, litanie des paysages
Aux vivants comme aux morts, la mine histoire et langage
Ce charbon peine et chance, chaque mineur l’a vécu
Mais un jour ce silence, oh pas un ne l’aurait cru
Et j’avais fait des merveilles en bâtissant notre amour
En gardant ton sommeil, en montant des murs autour
Mais quand on aime on a tort, on est stupide, on est sourd
Moi j’avais cru si fort que ça durerait toujours
J’avais cru si fort que ça durerait toujours