Les paroles de la chanson
« Les mots difficiles à dire »
Mannick
J’aurais voulu te parler de tout ce qui fait ma vie
Et des chemins de traverse que j’ai pris,
Des bonheurs et des blessures qui jalonnent mes années
je n’suis pas tout à fait sûre de pouvoir les raconter.
Ma mère aux yeux lointains, quand j’étais petite fille,
Entre ton cœur et le mien, tu sais, il y avait la famille.
je t’aurais voulu pour moi, mais tu avais tant à faire,
Que bien sûr je n’osais pas te parler, ma mère.
J’aurais voulu te parler du tunnel de mes amours
Et des jardins que j’éloigne du plein jour,
Tous les chagrins solitaires qui font se tordre le cœur
Et ces milliers d’après-guerre qui le rendent bâtisseur
Ma mère aux yeux velours, mon passé te réclame
Les barrières sont tombées, tu vois, depuis que je suis femme.
Pour ne plus noyer mon cri à longueur de muselières,
j’ai toujours besoin de toi, dans ma vie, ma mère.
Quand les mots ne viennent pas,
Quand leurs ailes sont brisées,
Il leur faut une musique
Pour qu’ils sachent s’envoler,
Les mots difficiles à dire
Sont plus faciles à chanter.
Et des chemins de traverse que j’ai pris,
Des bonheurs et des blessures qui jalonnent mes années
je n’suis pas tout à fait sûre de pouvoir les raconter.
Ma mère aux yeux lointains, quand j’étais petite fille,
Entre ton cœur et le mien, tu sais, il y avait la famille.
je t’aurais voulu pour moi, mais tu avais tant à faire,
Que bien sûr je n’osais pas te parler, ma mère.
J’aurais voulu te parler du tunnel de mes amours
Et des jardins que j’éloigne du plein jour,
Tous les chagrins solitaires qui font se tordre le cœur
Et ces milliers d’après-guerre qui le rendent bâtisseur
Ma mère aux yeux velours, mon passé te réclame
Les barrières sont tombées, tu vois, depuis que je suis femme.
Pour ne plus noyer mon cri à longueur de muselières,
j’ai toujours besoin de toi, dans ma vie, ma mère.
Quand les mots ne viennent pas,
Quand leurs ailes sont brisées,
Il leur faut une musique
Pour qu’ils sachent s’envoler,
Les mots difficiles à dire
Sont plus faciles à chanter.