Les paroles de la chanson
« Les montagnes bleues »
Salammbô
Zelda, la femme guerrière :
Dans mes montagnes bleues
Y a de l’air pour respirer
Y a des océans de feu
Des endroits pour se cacher
Y a des nuages tout là haut
Où je vais souvent m’y baigner
Dans mes montagnes bleues
J’ai vu mille soleils se coucher
Pas de discours, ni de phrases
Pas de mots que du silence
Faut laisser les rivières salées
Dessiner ton visage
Y a des nuages tout là haut
Qui gardent tous mes secrets
Dans mes montagnes bleues
Les étoiles savent écouter
Il y a chez nous
Un enfant qui meurt chaque jour
Et cette violence et cette tendresse
Paradoxe
Mais l’enfant meurt
Parce-que la fleur se fane, se ferme
Inexorablement, parce-que plus
Et ne sera jamais
Quand on oublie d’arroser
Ne fut-ce qu’une seule fois
Elle baisse la tête
Et lentement s’endort
Tombent ses pétales
Généreuses, parfumées
Dernier signe avant que
La terre se referme
A jamais
Alors faut faire vite
Si un jour l’eau nous a manqué
Car au temps on ne peut
Plus
Faut faire vite
Sinon l’enfant va tomber
Il restera l’écho des rires
Dans le coeur de ceux
Qu’on a aimé
Alors faut faire vite
D’aimer, beaucoup
Pour que l’écho ne meurt
Jamais
Dans mes montagnes bleues
Y a de l’air pour respirer
Y a des océans de feu
Des endroits pour se cacher
Y a des nuages tout là haut
Où je vais souvent m’y baigner
Dans mes montagnes bleues
J’ai vu mille soleils se coucher
Pas de discours, ni de phrases
Pas de mots que du silence
Faut laisser les rivières salées
Dessiner ton visage
Y a des nuages tout là haut
Qui gardent tous mes secrets
Dans mes montagnes bleues
Les étoiles savent écouter
Il y a chez nous
Un enfant qui meurt chaque jour
Et cette violence et cette tendresse
Paradoxe
Mais l’enfant meurt
Parce-que la fleur se fane, se ferme
Inexorablement, parce-que plus
Et ne sera jamais
Quand on oublie d’arroser
Ne fut-ce qu’une seule fois
Elle baisse la tête
Et lentement s’endort
Tombent ses pétales
Généreuses, parfumées
Dernier signe avant que
La terre se referme
A jamais
Alors faut faire vite
Si un jour l’eau nous a manqué
Car au temps on ne peut
Plus
Faut faire vite
Sinon l’enfant va tomber
Il restera l’écho des rires
Dans le coeur de ceux
Qu’on a aimé
Alors faut faire vite
D’aimer, beaucoup
Pour que l’écho ne meurt
Jamais