Les paroles de la chanson
« Les mômes »
Serge Davignac
Ils nous regardent avec des yeux
Plus merveilleux qu’un jour de gloire
On leur donnerait le bon Dieu
Ils sont câlins à n’y pas croire
Ils sont plus frais que la rosée
Quand ils gambadent autour de nous
Plus tristes qu’une fleur fanée
Quand ils s’ennuient sur nos genoux
Les mômes, les mômes
Leur univers n’a qu’un contour
Celui du cœur et puis voilà
On leur confie autant d’amour
Qu’on peut en avoir sur les bras
Ils vivent à la source du temps
Et cueillent à l’arbre défendu
Avec un sourire innocent
Des joies que nous avons perdues
Les mômes, les mômes
Ils nous entraînent par la main
Vers des pays qui sont les leurs
Ils ne connaissent qu’un chemin
Celui qui mène au cri du cœur
Ils ont la clef de l’inconnu
Et nous invitent à contempler
Tout ce que nous ne voyons plus
Ils nous rappellent qu’il faut rêver
Les mômes, les mômes
Ils se promènent au fil des ans
Le printemps pousse sous leurs pas
Leurs voix se perdent dans le vent
Avec le secret de leurs joies
Ils sont poètes plus que nous
Quand ils s’inventent des refrains
Où ils comparent les cailloux
À la dentelle des chemins
Les mômes, les mômes
Ils ne connaissent pas le nom
De tout ce qu’ils montrent du doigt
Que leur importe la raison
De la beauté de ce qu’ils voient
À l’heure où s’éteint le soleil
Leur rêve est la réalité
Ils l’emportent dans leur sommeil
Émerveillés
Les mômes, les mômes, les mômes
Plus merveilleux qu’un jour de gloire
On leur donnerait le bon Dieu
Ils sont câlins à n’y pas croire
Ils sont plus frais que la rosée
Quand ils gambadent autour de nous
Plus tristes qu’une fleur fanée
Quand ils s’ennuient sur nos genoux
Les mômes, les mômes
Leur univers n’a qu’un contour
Celui du cœur et puis voilà
On leur confie autant d’amour
Qu’on peut en avoir sur les bras
Ils vivent à la source du temps
Et cueillent à l’arbre défendu
Avec un sourire innocent
Des joies que nous avons perdues
Les mômes, les mômes
Ils nous entraînent par la main
Vers des pays qui sont les leurs
Ils ne connaissent qu’un chemin
Celui qui mène au cri du cœur
Ils ont la clef de l’inconnu
Et nous invitent à contempler
Tout ce que nous ne voyons plus
Ils nous rappellent qu’il faut rêver
Les mômes, les mômes
Ils se promènent au fil des ans
Le printemps pousse sous leurs pas
Leurs voix se perdent dans le vent
Avec le secret de leurs joies
Ils sont poètes plus que nous
Quand ils s’inventent des refrains
Où ils comparent les cailloux
À la dentelle des chemins
Les mômes, les mômes
Ils ne connaissent pas le nom
De tout ce qu’ils montrent du doigt
Que leur importe la raison
De la beauté de ce qu’ils voient
À l’heure où s’éteint le soleil
Leur rêve est la réalité
Ils l’emportent dans leur sommeil
Émerveillés
Les mômes, les mômes, les mômes