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Les paroles de la chanson
« Les milles pailettes »
Manu Chao

Je les voulais à milles paillettes,
Je les voulais trop belles pour moi,
Je les voulais qui font la fête,
Je les voulais toutes aux abois,
Je les voulais toutes dans mes bras,
Je les voyais belles et fragiles,
Je les rêvais belles et fragiles,
Je les rêvais tellement dociles,
Je les voulais et je me noie,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Tout seul ma gueule encore une fois.

Je me revois tel un pacha,
Dans un grand lit plein de Fatma,
Entouré de cent mille paillettes,
Y’avait Francine, y’avait Ginette,
Y’avait la Louise et Roberta,
Je m’y revois tel un pacha,
Je m’y revois et je me noie,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Y’a plus ni tambours, ni trompettes,
Tout seul ma gueule encore une fois,
Tout seul ma gueule je m’y revois.

Y’avait Francine, y’avait Ginette,
Y’avait la Louise et Roberta,
Je les voulais trop belles pour moi,
Je les voulais toutes à mille paillettes,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Y’a plus ni tambours, ni trompettes,
Y’a plus la Louise, Y’a plus Ginette,
Y’a plus Francine, y’a plus que ma tête,
Entouré de cent mille paillettes,
Encore une fois je m’y revois.

Changez de cavalier

Je les voulais à mille paillettes,
Je les voulais trop belles pour moi,
Je les voulais qui font la fête,
Je les voulais toutes aux abois,
Je les voulais toutes dans mes bras,
Je les rêvais belles et fragiles,
Je les rêvais tellement dociles,
Je les voulais, et je me noie,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Tout seul ma gueule encore une fois.

Je me revois tel un pacha,
Entouré de cent mille Fatma,
Dans un grand lit plein de paillettes,
Y’avait Francine, y’avait Ginette,
Tout seul ma gueule encore une fois.
Tout seul ma gueule, je m’y revois
Y’avait Francine, y’avait Ginette,
Y’avait la Louise et Roberta,
Dans un grand lit à mille paillettes,
Je les voulais trop belles pour moi.

Changez de cavalier

Je les voulais à mille paillettes,
Je les voulais trop belles pour moi,
Je les voulais qui font la fête,
Je les voulais toutes aux abois,
Je les voulais toutes dans mes bras,
Je les rêvais belles et fragiles,
Je les rêvais tellement dociles,
Je les voulais, et je me noie,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Tout seul ma gueule encore une fois.

Je me revois tel un pacha,
Entouré de cent mille Fatma,
Dans un grand lit plein de paillettes,
Y’avait Francine, y’avait Ginette,
Y’avait la Louise et Roberta,
Je m’y revois et je me noie,
Assis tout seul sans queue ni tête,
Y’a plus ni tambours, ni trompettes,
Y’a plus la Louise, y’a plus Ginette,
Y’a plus Francine, y’a plus que moi