Les paroles de la chanson
« Les mensonges d'un père à son fils »
Dan Bigras
Le temps, petit Simon,
Où tu m’arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l’heure
Mais déjà, tu m’arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Le temps, petit Simon,
Que je te fasse un peu l’école
Me semble venir aujourd’hui
Redonne-moi de cet alcool
Que je te parle de la vie
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s’en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la Terre
Malbrough ne s’en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Et puis, petit Simon,
Chez nous, personne ne vieillit
Nous sommes là et ne crois pas
Que nous partirons d’aujourd’hui
Pour habiter dans autrefois
L’amour, c’est tous les jours
Qu’on le rencontre dans la vie
Et rien ne passe et rien ne casse
Redonne-moi de l’eau-de-vie
A peine, à peine, voilà, merci
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s’en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la terre
Malbrough ne s’en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Les femmes infidèles
On les voit dans les aquarelles
Elles vous querellent sous les ombrelles
Dans la vie, ce ne sont pas les mêmes
Elles nous aiment, elles nous aiment
Un homme, petit Simon,
Ce n’est jamais comme un navire
Qu’on abandonne quand il chavire
Et tout le monde quitte le bord
Les femmes et les enfants d’abord
Tu verras
Les maisons ne meurent pas
Les idées ne vous quittent pas
Le cœur ne s’en va pas
Tu verras
Tu va suivre en beauté
Les chemins de la liberté
Tu vivras tu verras
Comme moi
Le temps, petit Simon,
Où tu m’arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l’heure
Mais déjà, tu m’arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Alors, petit garçon,
Moi qui t’aimais, toi qui m’aimais
Souviens-toi que ton père avait
Une sainte horreur du mensonge
Une sainte horreur du mensonge
Où tu m’arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l’heure
Mais déjà, tu m’arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Le temps, petit Simon,
Que je te fasse un peu l’école
Me semble venir aujourd’hui
Redonne-moi de cet alcool
Que je te parle de la vie
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s’en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la Terre
Malbrough ne s’en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Et puis, petit Simon,
Chez nous, personne ne vieillit
Nous sommes là et ne crois pas
Que nous partirons d’aujourd’hui
Pour habiter dans autrefois
L’amour, c’est tous les jours
Qu’on le rencontre dans la vie
Et rien ne passe et rien ne casse
Redonne-moi de l’eau-de-vie
A peine, à peine, voilà, merci
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s’en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la terre
Malbrough ne s’en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Les femmes infidèles
On les voit dans les aquarelles
Elles vous querellent sous les ombrelles
Dans la vie, ce ne sont pas les mêmes
Elles nous aiment, elles nous aiment
Un homme, petit Simon,
Ce n’est jamais comme un navire
Qu’on abandonne quand il chavire
Et tout le monde quitte le bord
Les femmes et les enfants d’abord
Tu verras
Les maisons ne meurent pas
Les idées ne vous quittent pas
Le cœur ne s’en va pas
Tu verras
Tu va suivre en beauté
Les chemins de la liberté
Tu vivras tu verras
Comme moi
Le temps, petit Simon,
Où tu m’arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l’heure
Mais déjà, tu m’arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Alors, petit garçon,
Moi qui t’aimais, toi qui m’aimais
Souviens-toi que ton père avait
Une sainte horreur du mensonge
Une sainte horreur du mensonge