Les paroles de la chanson
« Les mauvais coups »
Eddie Constantine
On m’a toujours pris pour un tendre
Jusque vers ma quinzième année
Il est des tournants qu’il faut prendre
À seize ans, j’étais déchaîné!
Ma pauv’ maman, je le confesse
En avait le cœur déchiré
Mais sans pitié pour sa détresse
J’étais l’ plus dur de tout l’ quartier
{Refrain:}
C’est pas qu’on cherche les mauvais coups
La vie, ça s’ brûle par les deux bouts
À vingt ans, j’étais militaire
J’ai pas eu l’ temps d’ prendre du galon
J’ai déserté, un coup d’ colère
L’armée, c’était pas mon rayon
Comme les starlettes changent de visage
Bien souvent, j’ai dû changer d’ nom
Ça permettait d’ plier bagage
Sans payer toutes les additions
{au Refrain}
Un jour, j’ai fait du bénéfice
J’ai invité celle que j’aimais
"Viens à la foire aux pains d’épices
Sous les manèges et puis après..."
Elle est partie après la fête
Emportant mes économies
Y faut vraiment pas être honnête
Pour se faire une place dans la vie
J’aurais dû croire ma pauvre mère
Qui me traitait de bon à rien
Être bon, c’est pleurer misère
On n’ m’y reprendra pas demain
C’est pas qu’on cherche les mauvais coups
La vie ça s’ brûle par les deux bouts
Sans quoi on s’ mouille pour rien du tout
Jusque vers ma quinzième année
Il est des tournants qu’il faut prendre
À seize ans, j’étais déchaîné!
Ma pauv’ maman, je le confesse
En avait le cœur déchiré
Mais sans pitié pour sa détresse
J’étais l’ plus dur de tout l’ quartier
{Refrain:}
C’est pas qu’on cherche les mauvais coups
La vie, ça s’ brûle par les deux bouts
À vingt ans, j’étais militaire
J’ai pas eu l’ temps d’ prendre du galon
J’ai déserté, un coup d’ colère
L’armée, c’était pas mon rayon
Comme les starlettes changent de visage
Bien souvent, j’ai dû changer d’ nom
Ça permettait d’ plier bagage
Sans payer toutes les additions
{au Refrain}
Un jour, j’ai fait du bénéfice
J’ai invité celle que j’aimais
"Viens à la foire aux pains d’épices
Sous les manèges et puis après..."
Elle est partie après la fête
Emportant mes économies
Y faut vraiment pas être honnête
Pour se faire une place dans la vie
J’aurais dû croire ma pauvre mère
Qui me traitait de bon à rien
Être bon, c’est pleurer misère
On n’ m’y reprendra pas demain
C’est pas qu’on cherche les mauvais coups
La vie ça s’ brûle par les deux bouts
Sans quoi on s’ mouille pour rien du tout