Les paroles de la chanson
« Les mariés de vendée »
Anaïs
J’écrivais ton nom sur les pierres
Sur les cheveux de lierre
Des ruines abandonnées
Je t’attendais à la rivière
Dans le bleu des fougères
Auprès d’un champs de blé
J’écrivais ton nom solitaire
Sur les chemins de terre
Sur les arbres écorchés
Je t’attendais dans mes prières
Dans le feu des bruyères
Des soleils de janvier
Je t’attendais, je t’attendais, je t’attendais
Et les églises se souviennent
Des tous premiers je t’aime
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l’eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les moulins se rappellent
La blancheur des dentelles
Des mariés de Vendée
Qui couraient dans les ruelles
Escaladaient les échelles
Pour s’aimer dans un grenier
Je parlais de toi aux nuages
Aux oiseaux de passage
A mes poupées d’enfant
Je t’attendais les nuits d’orage
Dans les genets sauvages
Au bord de l’océan
J’écrivais ton nom sur les plages
Sur les murs des villages
Les nuits de la Saint-Jean
Je t’attendais comme un rivage
Quand un bateau naufrage
Au cœur de l’ouragan
Je t’attendais, je t’attendais, je t’attendais
Et les églises se souviennent
Des prénoms de baptême
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l’eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les étangs se rappellent
Les serments éternels
Sous les grands peupliers
Garde ta main dans la mienne
Nous serons quoi qu’il advienne
Des mariés de Vendée.
Sur les cheveux de lierre
Des ruines abandonnées
Je t’attendais à la rivière
Dans le bleu des fougères
Auprès d’un champs de blé
J’écrivais ton nom solitaire
Sur les chemins de terre
Sur les arbres écorchés
Je t’attendais dans mes prières
Dans le feu des bruyères
Des soleils de janvier
Je t’attendais, je t’attendais, je t’attendais
Et les églises se souviennent
Des tous premiers je t’aime
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l’eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les moulins se rappellent
La blancheur des dentelles
Des mariés de Vendée
Qui couraient dans les ruelles
Escaladaient les échelles
Pour s’aimer dans un grenier
Je parlais de toi aux nuages
Aux oiseaux de passage
A mes poupées d’enfant
Je t’attendais les nuits d’orage
Dans les genets sauvages
Au bord de l’océan
J’écrivais ton nom sur les plages
Sur les murs des villages
Les nuits de la Saint-Jean
Je t’attendais comme un rivage
Quand un bateau naufrage
Au cœur de l’ouragan
Je t’attendais, je t’attendais, je t’attendais
Et les églises se souviennent
Des prénoms de baptême
Des mariés de Vendée
Qui couraient à perdre haleine
Boire à l’eau des fontaines
Leur tout premier baiser
Et les étangs se rappellent
Les serments éternels
Sous les grands peupliers
Garde ta main dans la mienne
Nous serons quoi qu’il advienne
Des mariés de Vendée.