Les paroles de la chanson
« Les manigances »
Debout Sur Le Zinc
La liberté n’est pas de celle que l’on achète
Moi, j’ai brûlé bien des années dans cette quête
Elle a résisté, moi j’ai tout tenté
Pour la prendre, mais en vain, le vent avait tourné
A ses pieds je suis tombé, et si j’ai perdu connaissance
Mon vieil orgueil ne m’a pas lâché et je pense
Un jour viendra ou, fort de mon talent
Je lui ferai le mal que je sais mais en attendant :
Je manigance
Je reste froid, en tout lieu en toute circonstance
J’étais le roi tant à te gâter l’existence
Entrée d’un seul regard au fond de toi
Et la nuit dans tes rêves, je te glaçais d’effroi
Mais aujourd’ hui, pas le temps de t’en expliquer les raisons
Même si j’ai toujours une dent à disposition
Le doute est entré là je le sens bien
Un seul geste suffirait à me priver de mes attraits
Les manigances
Ma tête tourne tourne et fond dans la nuit ou tantôt je régnais
Je n’y vois plus rien, rien ni personne
Et mon cœur sonne, résonne d’une vérité que toujours je reniais
De celle qui ne trompe jamais
La liberté n’est pas de celle que l’on soudoie
Moi, j’y ai cru, et je me perds dans ses bras.
Moi, j’ai brûlé bien des années dans cette quête
Elle a résisté, moi j’ai tout tenté
Pour la prendre, mais en vain, le vent avait tourné
A ses pieds je suis tombé, et si j’ai perdu connaissance
Mon vieil orgueil ne m’a pas lâché et je pense
Un jour viendra ou, fort de mon talent
Je lui ferai le mal que je sais mais en attendant :
Je manigance
Je reste froid, en tout lieu en toute circonstance
J’étais le roi tant à te gâter l’existence
Entrée d’un seul regard au fond de toi
Et la nuit dans tes rêves, je te glaçais d’effroi
Mais aujourd’ hui, pas le temps de t’en expliquer les raisons
Même si j’ai toujours une dent à disposition
Le doute est entré là je le sens bien
Un seul geste suffirait à me priver de mes attraits
Les manigances
Ma tête tourne tourne et fond dans la nuit ou tantôt je régnais
Je n’y vois plus rien, rien ni personne
Et mon cœur sonne, résonne d’une vérité que toujours je reniais
De celle qui ne trompe jamais
La liberté n’est pas de celle que l’on soudoie
Moi, j’y ai cru, et je me perds dans ses bras.