Les paroles de la chanson
« Les lésions dangereuses »
Magali Noël
Tu l’as donc rencontré
Dans un pauvre bistrot
Où tu vas le matin très tôt
Prendre un petit café
Il venait tous les jours
Et toi tu as fini
Le voyant si triste toujours
Par le trouver gentil
Et hier soir dans ta maison
Tu étais gaie comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
T’avaient caressé
D’un regard si tendre
Sa bouche
Qui te plaisait tant
T’avait dit des mots
Pleins de sentiments
Son cœur
Qui te plaisait tant
Battait doucement
Au rythme des rêves
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Etreignaient tes mains
D’un geste enivrant
Il avait des beaux yeux
Il avait des mains fines
Une bouche bien dessinée
Il était seul et digne
Tu pensais à son cœur
Tu voulais l’éveiller
Imaginant sa pauvre vie
Tu voulais l’égayer
Mais hier soir dans sa maison
Il était gai comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
Regardaient le sang
Couler sur la table
Son cœur
Qui te plaisait tant
Sonnait à coups sourds
Le glas des amants
Sa bouche
Qui te plaisait tant
Murmurait des mots
Qui te rendaient folle
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Poussaient un couteau
Dans un ventre blanc
Il préparait des merlans
Dans un pauvre bistrot
Où tu vas le matin très tôt
Prendre un petit café
Il venait tous les jours
Et toi tu as fini
Le voyant si triste toujours
Par le trouver gentil
Et hier soir dans ta maison
Tu étais gaie comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
T’avaient caressé
D’un regard si tendre
Sa bouche
Qui te plaisait tant
T’avait dit des mots
Pleins de sentiments
Son cœur
Qui te plaisait tant
Battait doucement
Au rythme des rêves
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Etreignaient tes mains
D’un geste enivrant
Il avait des beaux yeux
Il avait des mains fines
Une bouche bien dessinée
Il était seul et digne
Tu pensais à son cœur
Tu voulais l’éveiller
Imaginant sa pauvre vie
Tu voulais l’égayer
Mais hier soir dans sa maison
Il était gai comme un pinson
Ses yeux
Qui te plaisaient tant
Regardaient le sang
Couler sur la table
Son cœur
Qui te plaisait tant
Sonnait à coups sourds
Le glas des amants
Sa bouche
Qui te plaisait tant
Murmurait des mots
Qui te rendaient folle
Ses mains
Qui te plaisaient tant
Poussaient un couteau
Dans un ventre blanc
Il préparait des merlans