Les paroles de la chanson
« Les jours où l'on ne vit pas »
Salvatore Adamo
Oui, c’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
C’est comme ça, il y a des jours où rien ne va
Des jours de plein soleil où l’on a si froid
Que les plus pauvres joies vous glissent entre les doigts
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
On sort de son lit et déjà le miroir
Vous tue d’un regard désenchanté
Tiens, il ne pleut pas et on reprend espoir
Mais déjà l’ennui désucre le café
On arrose des fleurs qui ne s’ouvrent pas
Et même le piano refuse son la
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Je plonge dans la foule comme dans la mer
Au fil du courant, je t’aperçois
Et malgré moi, je fais le chemin à l’envers
Chacun de mes pas m’éloigne de toi
Je t’avais reconnue, c’est toi dont je rêvais
Et tu ne m’as pas vu, c’est moi que tu cherchais
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Je croise des enfants, ils ont les cheveux blonds
Ils parlent de la guerre qu’ils feront demain
Devant un vieillard qui joue avec un cerf-volant
Comme s’il tenait le fil de sa vie dans sa main
Je m’approche de lui, il fuit, Dieu sait pourquoi
Le fil se casse et le vieux pleure devant moi
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
On appelle un ami pour entendre une voix
«Amène ton cafard, tu es le bienvenu»
Et les mots se cognent à votre désarroi
On s’aperçoit soudain qu’on ne se comprend plus
Les plus beaux souvenirs, les projets, rien n’y fait
On se retrouve idiot et plus seul que jamais
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Il y a des jours où l’on ne vit pas
C’est comme ça, il y a des jours où rien ne va
Des jours de plein soleil où l’on a si froid
Que les plus pauvres joies vous glissent entre les doigts
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
On sort de son lit et déjà le miroir
Vous tue d’un regard désenchanté
Tiens, il ne pleut pas et on reprend espoir
Mais déjà l’ennui désucre le café
On arrose des fleurs qui ne s’ouvrent pas
Et même le piano refuse son la
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Je plonge dans la foule comme dans la mer
Au fil du courant, je t’aperçois
Et malgré moi, je fais le chemin à l’envers
Chacun de mes pas m’éloigne de toi
Je t’avais reconnue, c’est toi dont je rêvais
Et tu ne m’as pas vu, c’est moi que tu cherchais
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Je croise des enfants, ils ont les cheveux blonds
Ils parlent de la guerre qu’ils feront demain
Devant un vieillard qui joue avec un cerf-volant
Comme s’il tenait le fil de sa vie dans sa main
Je m’approche de lui, il fuit, Dieu sait pourquoi
Le fil se casse et le vieux pleure devant moi
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
On appelle un ami pour entendre une voix
«Amène ton cafard, tu es le bienvenu»
Et les mots se cognent à votre désarroi
On s’aperçoit soudain qu’on ne se comprend plus
Les plus beaux souvenirs, les projets, rien n’y fait
On se retrouve idiot et plus seul que jamais
C’est comme ça, il y a des jours où l’on ne vit pas
Il y a des jours où l’on ne vit pas