Les paroles de la chanson
« Les jeux olympiques »
Catherine Sauvage
Ce s’rait chouette les Jeux Olympiques,
Tous ces athlètes dans la foulée,
Pour un marathon fantastique
A la seule force du mollet.
Ce s’rait chouette les Jeux Olympiques,
L’émulation sur la cendrée,
Ce s’rait chouette les Jeux Olympiques
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Couleur kaki
Caca d’oie des frontières
Leurs p’tits drapeaux
Pour chaque nation
Qui claquent au vent
D’une musique militaire.
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous"
Les "N’oublie pas qu’la guerre est conne",
Les recueillements sur les trous
Où les soldats fusillés dorment.
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous",
Les manifestations de paix,
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous"
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Leurs p’tits tambours
Qui battent la cadence
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Qui claquent au vent
D’une minute de silence.
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
Dans le scaphandre de Pierrot,
J’y emporterais bien ma plume
Pour vous écrire quelques mots
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
En vacances pour mille étés,
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Pour cette fois ricains
De préférence
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Leurs p’tites étoiles
La Grande Ourse s’en balance
Ce s’rait chouette si tous les drapeaux
Voulaient bien se donner la hampe,
Ca f’rait des pyjamas très beaux,
Des soutiens-gorge pour les vamps.
Ce s’rait chouette si tous les drapeaux
Finissaient un jour draps de lits.
On y ferait l’amour bien au chaud
Avec les filles de leur pays.
Tous ces athlètes dans la foulée,
Pour un marathon fantastique
A la seule force du mollet.
Ce s’rait chouette les Jeux Olympiques,
L’émulation sur la cendrée,
Ce s’rait chouette les Jeux Olympiques
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Couleur kaki
Caca d’oie des frontières
Leurs p’tits drapeaux
Pour chaque nation
Qui claquent au vent
D’une musique militaire.
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous"
Les "N’oublie pas qu’la guerre est conne",
Les recueillements sur les trous
Où les soldats fusillés dorment.
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous",
Les manifestations de paix,
Ce s’rait chouette les "Souvenez-vous"
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Leurs p’tits tambours
Qui battent la cadence
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Qui claquent au vent
D’une minute de silence.
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
Dans le scaphandre de Pierrot,
J’y emporterais bien ma plume
Pour vous écrire quelques mots
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
En vacances pour mille étés,
Ce s’rait chouette d’aller sur la lune
Si, nom de Dieu, il n’y avait
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Pour cette fois ricains
De préférence
Leurs p’tits drapeaux
Leurs p’tits fanions
Leurs p’tites étoiles
La Grande Ourse s’en balance
Ce s’rait chouette si tous les drapeaux
Voulaient bien se donner la hampe,
Ca f’rait des pyjamas très beaux,
Des soutiens-gorge pour les vamps.
Ce s’rait chouette si tous les drapeaux
Finissaient un jour draps de lits.
On y ferait l’amour bien au chaud
Avec les filles de leur pays.