Les paroles de la chanson
« Les images »
Michèle Bernard
Le jour est parti en voyage
Évanoui dans les nuages
Les avions et les phares
Le cherchent dans le noir
(Les avions et les phares
Le cherchent dans le noir
Mais où donc est-il allé?
Disent les fleurs désolées)
Il a emporté la lumière
De l’autre côté de la Terre
Il a pris, ce voleur,
L’arc-en-ciel des couleurs
(Il a pris, ce voleur
L’arc-en-ciel des couleurs
Mais quand donc reviendra-t-il?
Dit le miroir, inutile)
Et moi, je ferme les yeux
Je fais la nuit quand je veux
Et je regarde derrière
Mes paupières
J’y vois des poissons volants
Des tigres et des chevaux blancs
Quand mes rêves ouvrent la cage
Des images
Puis le matin pose, en cachette,
Des moineaux le long des fenêtres
Dans la rue, on s’affaire
Une vraie fourmilière
(Dans la rue, on s’affaire
Une vraie fourmilière
Pourquoi sont-ils si pressés?
Dit un vieil homme étonné)
Ils cherchent partout la lumière
Mais la peur leur fait des œillères
Dans leurs télévisions
Se soûlent d’illusions
(Dans leurs télévisions
Se soûlent d’illusions
Ils ne m’ont pas remarqué
Dit le bonheur qui passait)
Et moi, j’ai ouvert les yeux
Je fais le jour quand je veux
Mes rêves sont là, derrière
Mes paupières
Et je dessine aujourd’hui
Ma vie en couleurs. Je suis
Héros d’un grand reportage
Plein d’images
Évanoui dans les nuages
Les avions et les phares
Le cherchent dans le noir
(Les avions et les phares
Le cherchent dans le noir
Mais où donc est-il allé?
Disent les fleurs désolées)
Il a emporté la lumière
De l’autre côté de la Terre
Il a pris, ce voleur,
L’arc-en-ciel des couleurs
(Il a pris, ce voleur
L’arc-en-ciel des couleurs
Mais quand donc reviendra-t-il?
Dit le miroir, inutile)
Et moi, je ferme les yeux
Je fais la nuit quand je veux
Et je regarde derrière
Mes paupières
J’y vois des poissons volants
Des tigres et des chevaux blancs
Quand mes rêves ouvrent la cage
Des images
Puis le matin pose, en cachette,
Des moineaux le long des fenêtres
Dans la rue, on s’affaire
Une vraie fourmilière
(Dans la rue, on s’affaire
Une vraie fourmilière
Pourquoi sont-ils si pressés?
Dit un vieil homme étonné)
Ils cherchent partout la lumière
Mais la peur leur fait des œillères
Dans leurs télévisions
Se soûlent d’illusions
(Dans leurs télévisions
Se soûlent d’illusions
Ils ne m’ont pas remarqué
Dit le bonheur qui passait)
Et moi, j’ai ouvert les yeux
Je fais le jour quand je veux
Mes rêves sont là, derrière
Mes paupières
Et je dessine aujourd’hui
Ma vie en couleurs. Je suis
Héros d’un grand reportage
Plein d’images