Les paroles de la chanson
« Les housards de la garde »
Fernandel
{Refrain:}
Toi qui connais les Housards de la Garde
N’ connais-tu pas l’ trombone du régiment?
Quel air aimable quand il vous regarde
Eh bien, ma chère, il était mon amant
Au Luxembourg, je fis sa connaissance
Qu’il était beau, dessous son fourniment
Quel air vainqueur, quelle noble prestance
En embouchant son aimable instrument
{au Refrain}
La première fois qu’il me vit en personne
J’ crus qu’il allait tomber en pâmoison
Il soupirait plus fort que sa trombone
Moi, d’émotion, j’en avais le frisson
{au Refrain}
Tu peux me croire, ô ma chère Julie
C’était vraiment un amour de garçon
Pour l’obliger, j’aurais donné ma vie
J’aurais vendu jusqu’au dernier jupon
{au Refrain}
Il est parti, j’attends de ses nouvelles
De Lille en Flandre où c’ qu’il tient garnison
Oh, que du moins il me reste fidèle
Ou j’ suis dans l’ cas de m’ détruire au charbon
{au Refrain}
Toi qui connais les Housards de la Garde
N’ connais-tu pas l’ trombone du régiment?
Quel air aimable quand il vous regarde
Eh bien, ma chère, il était mon amant
Au Luxembourg, je fis sa connaissance
Qu’il était beau, dessous son fourniment
Quel air vainqueur, quelle noble prestance
En embouchant son aimable instrument
{au Refrain}
La première fois qu’il me vit en personne
J’ crus qu’il allait tomber en pâmoison
Il soupirait plus fort que sa trombone
Moi, d’émotion, j’en avais le frisson
{au Refrain}
Tu peux me croire, ô ma chère Julie
C’était vraiment un amour de garçon
Pour l’obliger, j’aurais donné ma vie
J’aurais vendu jusqu’au dernier jupon
{au Refrain}
Il est parti, j’attends de ses nouvelles
De Lille en Flandre où c’ qu’il tient garnison
Oh, que du moins il me reste fidèle
Ou j’ suis dans l’ cas de m’ détruire au charbon
{au Refrain}