Les paroles de la chanson
« Les hommes qui n'ont plus rien à perdre »
Sylvie Vartan
[Johnny]: {parlé}
Tu vois cette affiche
Sur le mur de ma chambre
C’était un homme
Un de ces hommes
Qui n’avait plus rien à perdre
[Sylvie]:
Ils avaient cru semer du pain
Mais il n’a poussé que des pierres
Ils ont prié le ciel en vain
Alors ils ont serré les poings
Ils ont pris leurs chevaux et leurs fusils
Au lever du soleil, ils sont partis
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendent vers la ville
Pour tout détruire et tout brûler
Les hommes dont le cœur en colère
Appelle un chant de guerre
Un chant de liberté
[Johnny]: {parlé}
Il dort maintenant
Sous quelques pierres de son pays
Mais je sais que son nom et son visage
Sont connus de tous les hommes
[Sylvie]:
Ceux qui n’iront jamais plus loin
Les bras en croix dans la poussière
Oh! Ceux dont c’est le dernier matin
Ne seront pas tombés en vain
Leurs noms seront plus forts que leurs fusils
Ils voleront de pays en pays
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendront vers les villes
Pour tout détruire et tout brûler
Les hommes dont le cœur en colère
Fera d’un chant de guerre
Un chant de liberté
[Johnny]: {parlé}
Tu vois, aujourd’hui comme hier
Demain comme aujourd’hui
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendront vers les villes
Pour tout détruire et tout brûler
Et quand les hommes sont poussés par la colère
Ils font d’un chant de guerre, un chant de liberté
Aujourd’hui comme hier
Demain comme aujourd’hui
Tu vois cette affiche
Sur le mur de ma chambre
C’était un homme
Un de ces hommes
Qui n’avait plus rien à perdre
[Sylvie]:
Ils avaient cru semer du pain
Mais il n’a poussé que des pierres
Ils ont prié le ciel en vain
Alors ils ont serré les poings
Ils ont pris leurs chevaux et leurs fusils
Au lever du soleil, ils sont partis
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendent vers la ville
Pour tout détruire et tout brûler
Les hommes dont le cœur en colère
Appelle un chant de guerre
Un chant de liberté
[Johnny]: {parlé}
Il dort maintenant
Sous quelques pierres de son pays
Mais je sais que son nom et son visage
Sont connus de tous les hommes
[Sylvie]:
Ceux qui n’iront jamais plus loin
Les bras en croix dans la poussière
Oh! Ceux dont c’est le dernier matin
Ne seront pas tombés en vain
Leurs noms seront plus forts que leurs fusils
Ils voleront de pays en pays
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendront vers les villes
Pour tout détruire et tout brûler
Les hommes dont le cœur en colère
Fera d’un chant de guerre
Un chant de liberté
[Johnny]: {parlé}
Tu vois, aujourd’hui comme hier
Demain comme aujourd’hui
Les hommes qui n’ont plus rien à perdre
Descendront vers les villes
Pour tout détruire et tout brûler
Et quand les hommes sont poussés par la colère
Ils font d’un chant de guerre, un chant de liberté
Aujourd’hui comme hier
Demain comme aujourd’hui