Les paroles de la chanson
« Les hommes en blanc »
Ginie Line
Y a des hommes en blanc autour de moi
Tous les jours ils déambulent et font les cents pas
Oh je les entend parler tout bas
Mais j’te jure faut pas croire tout ce qu’ils disent sur moi
Je me fou bien de leur colombes
Des morales et des lois
J’attends que le verdict tombe
Roulée dans mes draps
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Tout l’monde fais comme si j’n’étais pas là
Qu’est-ce que ça peut bien faire que je parle au miroir
Les dimanches se suivent et se ressemblent
On cours après des cries et des portes qui tremblent
Ici rien n’est comme dans la vie
Les jardins sont rêvaient
Même les fleures nous on apprit
A ne pas les toucher
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Je lis des lettres à haute voix
Que tu n’envoies jamais
J’ai écris ton prénom mille fois
Sur les vitres embrumée
Mais que mon âme aille dans les flammes
Si je ne suis que démon
Sois dans mon cœur
Je n’ai pas peur de payer mon innocence
Tous les étés sont meurtrier
Ils ont des parfums d’éther
D’éternité, de jours fériés
Si tu entends mes prières
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Avant qu’ils me rendent folle
Tous les jours ils déambulent et font les cents pas
Oh je les entend parler tout bas
Mais j’te jure faut pas croire tout ce qu’ils disent sur moi
Je me fou bien de leur colombes
Des morales et des lois
J’attends que le verdict tombe
Roulée dans mes draps
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Tout l’monde fais comme si j’n’étais pas là
Qu’est-ce que ça peut bien faire que je parle au miroir
Les dimanches se suivent et se ressemblent
On cours après des cries et des portes qui tremblent
Ici rien n’est comme dans la vie
Les jardins sont rêvaient
Même les fleures nous on apprit
A ne pas les toucher
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Je lis des lettres à haute voix
Que tu n’envoies jamais
J’ai écris ton prénom mille fois
Sur les vitres embrumée
Mais que mon âme aille dans les flammes
Si je ne suis que démon
Sois dans mon cœur
Je n’ai pas peur de payer mon innocence
Tous les étés sont meurtrier
Ils ont des parfums d’éther
D’éternité, de jours fériés
Si tu entends mes prières
Dis-moi seulement quand tu viendras
Dans ces nuits de camisole
Aux hommes en blanc arrache-moi
Avant qu’ils me rendent folle
Avant qu’ils me rendent folle